On s'met la race dans les rues de la ville + Javadd

\|	On s'met la race dans les rues de la ville.; @Javadd Hurley & Hélias

Malgré ses nouvelles fréquentations, Hélias n'a jamais tourné le dos à ses amis. C'est d'ailleurs la seule chose qui fait qu'il n'a pas encore dépassé toutes les limites. Il est loin d'être irréprochable, mais au moins, il garde les pieds sur terre. Enfin, c'était encore le cas jusqu'à qu'il rencontre Javadd. Et quand deux mecs paumés se rencontre au détour d'un verre dans un bar mal famé, forcément, ça créer des liens. Est-ce qu'on pouvait dire que ces-là s'étaient bien trouvés ? En quelque sorte. Ils pouvaient faire les pires choses ensemble, mais en même temps, ils tentent tous les deux de s'entraider, à leur manière. Et ce soir, Hélias avait bien envie de retrouver son père, après ces derniers jours, le retour de Beth, le copain omniprésent d'Eva, une soirée avec Javadd était la bienvenue. Hélias lui avait donné rendez-vous dans un bar où ils avaient l'habitude d'aller. À force, c'était d'ailleurs bizarre qu'ils ne se soient toujours pas fait virer de cet établissement. À l'entrée, le vigile observa Hélias et le laissa entrer après de longues minutes d'attente. Le prochain écart de conduite, c'était certain, ils ne rentreraient pas. Avant d'entrer à l'intérieur du bar, il entendit la voix de Javadd l'appeler, il venait d'arriver à l'instant. " Salut mec ! " dit-il en tapant dans le dos à son ami. " J'espère que t'a un autre bar sur ta liste. D'ici peu, c'est sur on rentrera plus. " dit-il en lui expliquant que le vigile a mit du temps avant de le laisser entrer.

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On s'met la race dans les rues de la ville

EXORDIUM.

Tu n'es pas tout à fait clean quand tu rentres dans ce bar. Le vigile un ami de la bande, tu regardes haut en bas, tu sais qu'il te juge, mais cela n'a guère d'importance pour toi. Tu rentres en dansant, la musique est forte et tu adores ça. Tu te fais vite repéré par deux charmantes demoiselles, tu t'amuses d'elle en attendant que ton ami Hélias arrive. Tu n'as pas mieux à faire et tu es en charmante compagnie. Tu es vraiment minable profitant de deux jeunes femmes innocentes, alors que ton coeur est pris par une autre. Tu chasses cette idée, tu fais l'autruche, refusant d'affronter tes problèmes et ça comme tout les jours de ta vie. Tu te promènes avec ses deux princesses à chaque bras quand soudain tu aperçois ton pote à l'entrer. Tu l'appelles. "Hey ! Hélias!" Il se retourne et s'avance vers toi. Il te demande si tu connais un autre bar, car il est possible qu'un jour vous ne puissiez plus rentrer par ici. Tu le pointes du doigt. "Ne t'inquiète pas, du moment que Fred bosse ici, on a un pass droit. Qui ne serait honoré d'avoir deux beaux gosses dans son bar!" Fred le vigile, autrement dit le mec qui a pour mission de vieller sur toi quand tu es ici. C'est ainsi que le gang procède, toujours là les uns pour les autres, excepté toi. Tu es là, mais que pour toi. "Quel impolis je fais! Je te présente ... mignonette numéro une et mignonette numéro deux, je t'en prête une si tu veux." Dis-tu en donnant un coup de coude à ton ami. Il n'a pas besoin de toi pour séduire les femmes, mais tu en as deux, tu peux très partagé avec ton ami. Quel générosité, tu peux faire.

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Ce n’était jamais bon de voir les garçons ensemble. Javadd et Hélias, c’était sortir deux lions en cages. Les soirées se terminaient rarement bien, enfin de leurs points de vue, c’est l’éclate. Alors qu’il venait d’arriver, Javadd, qui avait déjà bien entamé sa soirée, était venu pour l’accueillir et forcément, il était déjà accompagné de deux jolies filles, deux petites bombes qui allaient finir la soirée avec eux. « Alors allons s’éclater ! » Ajouta-t-il à son ami. Hélias observa les deux filles, tout à fait à son goût, mais il fallait bien avouer que Javadd avait de très bon goût, mais là, il s’était surpassé. Un sourire se dessina sur les lèvres alors qu’il hocha légèrement la tête. « C’est le remontant dont j’avais besoin ! » dit-il avant d’en prendre une à son bras, à son tour. Il n’était pas comme ça Hélias. Il aime avoir des filles autour de lui, mais il était loin d’être un connard qui en profitait, jusqu’à il y a peu de temps où ses sentiments pour sa meilleure amie étaient de plus en plus fort et il n’acceptait pas de la voir avec son nouveau copain. D’où la raison du pourquoi il était autant distant avec cette dernière. Mais peu importe. Elle devait sans doute profiter de lui à l’heure qu’il était alors lui aussi, après tout, il avait le droit de profiter de son côté. « J’toffre un verre mec ? » Même si Javadd devait déjà avoir bien bu avant de venir, c’était symbolique de boire ensemble.

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On s'met la race dans les rues de la ville

EXORDIUM.

Les deux hommes ont bien plus de points communs qu'il ne le pense. Vous pensez être libre comme le vent, mais ce n'est pas tout à fait vrai. Amoureux de vos meilleures amies, mais refusant de se l'admettre ou simplement ne voulant pas le comprendre, vous êtes deux parfaits abrutis. L'avantage c'est que lorsque vous passez une soirée tous les deux, elle est souvent mémorable. Rarement pour vous, car votre mémoires au matin est souvent médiocre. Heureusement, pour vous, aujourd'hui la technologie à inventer les téléphones. Tu avais déjà commencé la soirée quand ton ami de toujours arrive enfin. Tu n'es pas resté longtemps très seul, un grand avantage de faire partie du gang des Sharps, gang donc tu n'as aucune gêne de faire partie. Portant ton blouson en cuir sur le dos, tu es la stars de ce bar. "Je savais que cela allait te faire du bien." Dis-tu en lui faisant un clin d'oeil. Une part de toi voudrait bien savoir ce qui se trotte dans la tête de ton ami, mais votre amitié n'est pas de style là et puis ce n'est pas l'endroit pour avoir une pseudo conversation. Alors, tu nies l'évidence, si il veut te parler, il le fera, tu n'as pas besoin de lui demander. Puis tu entends les mots que tu adores, il chante à ton oreille comme une douce mélodie. "Avec plaisir!" Tu regardes le barman et tu lui fais signe de ramener 4 shoots à votre table. La soirée va enfin pouvoir commencer. "Que penses-tu de cette petite soirée ? Une belle réussite n'est-ce pas ?" Tu aimes qu'on te cirre les bottes. Hélias ne le fait jamais! C'est pour ça que tu l'adores, car il n'a pas peur de te dire tes quatre vérité et te les balancer en pleine tronche. Soudain le barman arrive. "1 , 2 , 3 " Cul sec! La soirée risque d'être épique.

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Est-ce que les soirées entre les deux jeunes étaient une bonne idée ? Absolument pas. Pourtant, au fond, ils tentaient de sortir de la merde, mais à leur façon. Passer du bon temps ensemble était le remède à leurs maux. Ne plus penser à rien, plus penser à cette vie misérable qui les attendait en dehors de leurs soirées. Ce soir, Hélias avait bien l’intention de se changer les idées, quitte à y laisser des plumes, il s’en fichait pas mal. Il avait passé une sacrée journée avec le retour de Beth dans les parages. Alors qu’il venait de rentrer dans le bar, Javad avait déjà bien entamé sa soirée, ça ne l’étonnait pas du tout. Javadd était déjà accompagné de deux jolies filles, ce qui enchanta le jeune étudiant. Ce qu’il y avait de bien entre ces deux-là, c’est qu’ils n’avaient pas besoin de se parler, de leur vie, de leurs problèmes et ça, c’était plutôt cool. Et puis, Hélias était venu ici pour se détendre, pas pour voir un psy. Javadd fit signe au barman de ramener de quoi bien profiter. « je te répondrais quand ça deviendra vraiment intéressant. » Et il savait que la soirée allait très vite devenir intéressante. Le barman arriva enfin avec les 4 shoots. Premier shoot de la soirée, le premier d’une longue lignée. « Mec, faut que je te parle d’un truc. » Cul sec pour cette première tournée. « Je suis sur un gros coup-là. » Il observa les deux filles à leurs côtés et de toute évidence, elles étaient bien trop naïves pour comprendre quoi que ce soit sur la conversation qui allait suivre. « J’ai besoin d’une personne à mes côtés pour combattre, la mise est triplée et les combats à deux sont trop rares pour que j’passe à côté de ça. » le pognon, rien que le pognon. Et quand il s’agissait d’argent, forcément, ça intéressait. Mais au-delà des sous, Hélias savait que Javad ne le laisserait pas tomber et tout comme l’inverse est vrai également. Cette fois-ci, ce n’était pas des petites sommes qu’il pouvait se faire, là, c’était bien plus gros.

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Coup du destin !

et soudain...

Les deux filles qui les observaient décide de tenter leurs chances auprès des garçons.. Oubliant presque qu'elles ont déjà abusés de la vodka.

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On s'met la race dans les rues de la ville

EXORDIUM.

Depuis cette histoire de meurtre, tu n'étais plus que l'ombre de toi-même. Déjà de base, tu abuses de l'alcool, mais depuis c'est encore plus. Les substances illicites te permettent par la même occasion de ne plus penser à Giu. Car autant que ça peut te faire du bien de penser à elle, autant ça te blesse. Oui, blesse derrière toutes ces muscles, toutes ses haines, il y a un coeur qui bat et il ne bat pas pour la bonne personne. Tes soirées avec Hélias, te font le plus grand bien et tu sais que tu vas passer une bonne soirée. Vous êtes donc en charmante compagnie, des shoots à la main quand ton ami te dit qu'il te répondra dès que la soirée deviendra plus intéressant. "Tu mets toujours la charrue avec les boeufs, mon frère, profite du moment présent!" C'est drôle que tu dises ça puisque tu ne suis pas ton propre conseille. Finissant vos shoot à la vitesse de l'éclair, Hélias à une chose importante à te dire. "Ça m'intéresse!" Toujours en quète d'argent, il faut dire qu'accumuler les petits boulots ne t'aide pas à payer tes dettes. Enfin, cela ne te dérange pas, mais finir à la rue c'est pas très confortable comme situation. "Et du coup, tu as besoin d'un athlète tel que moi à tes côtés." Tu aimes te vanter, tu aimes faire croire à tout que tu es le meilleur. Même-si cela n'est qu'une carapace et que véritablement tu te sens comme une merde. "Évidemment, que je serais là frère, toujours là pour toi!" C'est ainsi que votre amitié est définie, ensemble dans la merde jusqu'au cou, mais toujours ensemble. Soudain les jeunes femmes deviennent de plus en plus entreprenante, tu ne sais pas comment tu dois prendre les choses, jamais une femme entre deux potes. Au début c'es amusant, tu l'as laisse passer sa main dans ton pantalon puis tu lui dis. "Hey!! Doucement! J'suis avec mon frangin là! Chaque chose en son temps! T'inquiète pas, tu y goûteras à tout ça." Dis-tu en désignant ton corps.

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@Javadd Hurley & Hélias

À eux deux, c’étaient deux épaves. Deux mecs totalement déchirés par leur vie qui avaient pris des tournures différentes. Et pourtant, quelque part, être tous les deux les rendait mieux, plus fort, ils étaient chacun la bouée de sauvetage de l’autre, mais à leur manière. Et s’il y avait bien une chose de vrai entre ces deux-là, c’est qu’ils feraient n’importe quoi l’un pour l’autre. Javadd insistait sur le fait qu’Hélias devrait se détendre un peu plus. C’était drôle venant d’un gars qui ne le faisait pas. Il esquissa simplement un sourire, il allait essayer de l’écouter pour une fois et profiter de la soirée. Mais avant ça, il y avait quelque chose qui le trotter dans la tête et il devait demander à Javadd de l’aide. Et forcément, il précisa la somme d’argent qu’il y avait en jeu, parce qu’il fallait bien avouer que l’argent faisait beaucoup dans leur monde. Évidemment, ça l’intéressait, Hélias le savait avant même de demander. Et puis, il ne laisserait jamais son frère dans une galère, tout comme Hélias ne le laisserait jamais dans une galère. « Hein ? Non, j'te veux juste pour faire diversion avec tes vieilles blagues ! » il plaisantait évidemment. Avoir Javadd à ses côtés était un atout dont il ne pouvait se passer. Si Javadd pouvait se défouler, c’était parfait. En guise de remerciement, il s’approcha de lui et le prit dans ses bras pour lui donner l’accolade. « Merci mon frère ! » L’accolade s’interrompit brutalement avec l’insistance des deux jeunes femmes à vouloir plus que ce que les garçons leur donnaient jusqu’à maintenant, c’est-à-dire très peu d’attention. Hélias soupira légèrement, autant, il avait deux canons devant lui et qu’il ne demandait que ça, autant, quelque chose le bloquait. Eva. Il pensait de plus en plus à la jeune femme et il n’arrivait pas à se laisser aller vers autre chose. Mais il jouait le jeu pour cette fois, il attrapa la jeune femme et glissa tout doucement ses mains sous sa jupe. « Tu nous laisses encore un peu de temps et je reviens vite vers toi » c’était pitoyable. Il se mentait à lui-même et ça se voyait de plus en plus.

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On s'met la race dans les rues de la ville

EXORDIUM.

L'amitié comme l'amour ne peut s'expliquer, il est clair que vous n'êtes vraiment bon l'un pour l'autre. Mais vous êtes tellement complémentaire que cela semble comme une évidence. Vous êtes deux mecs paumés qui font plus pitié qu'autre chose. Vos meilleurs amis réceptifs dans vos coeurs, mais chacune avec ses raisons de faire semblant de ne rien voir. Quand Hélias te propose un combat, tu ne peux pas refuser. Tu enchaînes les petits boulots, car tu ne sais pas en garder un. Tu as donc un manque financier assez important et dès que tu en as un peu, tu finis par le dépenser en drogue ou en alcool. Tu es qu'un con qui ne sait pas se contrôler et c'est pire à présent. Les cauchemar et la culpabilité te ronge et le manque de sommeils commencent à te percer. "Mes blagues c'est seulement pour attirer les femmes dans mon lit, car comme dit le dicton femme qui rit à moitié dans ton lit." Tu avais peut-être un peu plus bu que tu ne l'aurais cru, mais peu importe. Vous vous faites une acolade de frères. Il te remercie d'être toujours partant dans ses idées folles et tu le sauras toujours. De toute façon, il faut que tu te t'occupe pour ne pas trop penser. "Comment vas Eva ? Elle est venue me chercher y a deux jours, mais j'ai pas trop de souvenirs de ce qu'il s'est passé." Dis-tu avant de finir le nouveau verre de shooter. Tu es incorrigibles. Lui comme toi envoyé boulet vos demoiselles pour le moment. Les potes avant les putes, voilà votre dicton à vous. Ton téléphone sonne et c'est un message coquin de Jesta, ton plan cul. "Mec, elles sont en manquent ce soir, c'est pas possible!"

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Ces derniers temps, Hélias enchaîner les merdes sans pouvoir y faire grand-chose. Il était paumé et ça devenait compliqué de tout gérer. Alors une soirée avec Jav était plus que la bienvenue. Evidemment, ça remettait ses problèmes à plus tard, ça ne les faisait pas disparaître, mais après tout, une pause était une bonne idée. Ce soir, Hélias avait un énorme service à demander à son pote, un service qu’il ne demanderait pas à n’importe qui. Il avait besoin de quelqu’un à ses côtés lors d’un combat, un gros combat en duo qui ne pouvait pas rater. Il ne fut pas surpris par la réponse de son meilleur ami. Il savait que très bien que Javadd le suivrait partout où il allait, tout comme l’inverse était vrai. Javadd continua avec ses blagues qui forcément, faisait bien marrer Hélias. Il était plutôt bon public et puis, c’était tellement con qu’il en rigolait. « Quoi ? et t’arrives à choper des gonzesses comme ça ? » il soupira, peiné par cette nouvelle. « Attends... c’était quand la dernière fois que t’a réussi à ramener une fille dans ton lit ? » taquin, il rigola avant de lui donner une accolade. Prenant une dernière gorgéee, il fit signe au serveur de servir la même chose et reposa son attention sur Javad, qui avait changé de sujet et glissé tout doucement sur un sujet tabou. Eva. « Comme d’hab, elle a dû te faire la leçon et te dire à quel point t’es qu’un pauvre con ? » c’était la même chose avec lui, quand il terminait mal avec ses combats. C’était tout Eva. « Elle va très bien » il insista bien sur le très, bien trop mauvais de savoir que sa meilleure amie était heureuse avec son copain. Il lui souhaitait tout le bonheur du monde, oui, mais pas avec lui. " Oublie les un peu ! T'aura tout le temps d'être avec elles plus tard." Au fond, tous les deux étaient tiraillés par cet amour impossible avec deux filles qui voulaient simplement être heureuses. Mais aucun des deux n'arrivait à se persuader qu'ils arriveraient à les rendre heureuses. C'était bien trop compliqué de se laisser allez à ce bonheur qu'aucun des deux ne méritait, selon eux.

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