Haut les mains !

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La fête foraine

C'est la fête foraine tout le monde s'amuse y compris vous. Un tel état d'amusement que vous en oubliez presque les drôles de cassette vidéos que vous avez reçus quelques jours auparavant. Mais le destin est là pour vous le rappeliez. Alors que vous étiez tous réunis sous un chapiteau dans l'attente du début d'un show de cirque, un coup de feu retentis. Le bruit résonne et des hurlements se font entendre. Femmes, Hommes et enfants recherches d'où peu bien venir ce coup de feu quand soudain un homme armé au centre de la scène intercepte un groupe de passager avant qu'ils puissent prendre la fuite.

Si vous le souhaitez, vous pouvez jouer à la suite de ce message. Il se situe le soir de la fermeture de la fête foraine. Le tueur viendra se mêler à la soirée. Pensez au rp de petites tailles, histoire de ne pas décourager les moins téméraire d'entre nous (je me compte là dedans) et amusez vous avec votre vie

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EXORDIUM.

Dire que tu étais venu ici avec l'intention de passer une bonne soirée. Une dernière soirée à la fête foraine. Tu étais avec ta bande d'ami habituel, mais sans BB. Tu n'as toujours eu de nouvelle d'elle depuis votre semblant de conversation. Elle te manquait de plus en plus chaque jour. Quand tu as entendus le premier coup de feu, tu n'as pas tout de suite réagis. C'est lorsque la foule s'est mise à paniqué que tu en as fait tout autant. Tu as couru arrivant à la scène essayant de trouver une sortie quand tu t'es retrouvé enfermé. Assis sur le sol avec quelques autres personnes, tu ne fais pas le fier. Cet homme en face de toi, armé et en colère, te fait froid dans le dos. Tu jettes un coup d'oeil, si tu connais quelques visages, mais ta vue est encore flou. Tu trembles et ce n'est pas de froid. Pendant que tu as peur, l'homme qui détient l'arme semble être sur le point d'exploser de rire. Tu ne comprendrais décidément jamais ce qui pourrait une personne à en faire souffrir d'autre, c'est quelques choses qui te dépassent.

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EXORDIUM.

C’était surréaliste. Ce genre de choses n’arrivait qu’à la télé. Dans les films, ou aux Etats-Unis - les américains et leur obsession pour les armes, elle ne comprendrait jamais, mais là n’était pas le problème. Assise sur le sol, silencieuse au milieu d’une foule aussi tendue qu’elle, les yeux de Mae ne passaient de l’homme armé, le suivant à chacune de ses allées et venues, à la foule apeurée, priant intérieurement pour ne pas y découvrir Zola. Elle avait juste voulu sortir, se distraire, se retirer sa mère, et Zola, et Alexis, et tout ce qui lui tournait dans la tête depuis son retour à Melbourne. Niveau distraction, on pouvait pas faire mieux d’un sens, mais elle aurait préféré quelque chose de moins… terrifiant. Parce que terrifiée, elle l’était, même si elle avait vu assez de déséquilibrés aller et venir dans la vie de sa mère pour savoir que le mieux à faire, c’était de rester calme, au moins en apparence.
Le jeune homme (@Thomas Bellamy) assis à côté d’elle ne semblait pas plus rassuré qu’elle - comme n’importe qui de sain d’esprit - et elle aurait voulu lui glisser quelques mots rassurants, mais deux choses l’en empêchaient : l’homme, non loin d’eux, et le fait que tous les mots auxquels elle pouvait penser semblaient un peu vides.

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Dire que je m'étais rendus à la fête foraine me pour détendre avant d'un exeman de lendemain. Cela me semble complètement surréaliste. Assise sur le sol froid et grattant de la piste de cirque, je donnerais tout pour travailler ce soir. J'aurais encore préféré me faire attraper par le vieu qui pu que d'être dans cette situation. Un homme armé cela est digne d'un mauvais film, mais cela ne peut pas être réel. Enfin c'est ce que je me disais avant d'être accroupis et presque en pleur. Je regarde les personnes et en face de mois, j'aperçois un homme roux qui semble assez terrifié et une femme blonde à côté de lui. Je les regardes comme on regarde des personnes à qui on cherche du réconfort. J'aimerais demander à cet homme pourquoi nous sommes là, mais il risque de prendre la parole à un moment ou un autre c'est souvent comme cela que ça se passe dans les films. Qui sera la personne assez folle pour tenter de s'enfuir. J'aimerais être cette personne, mais mes jambes refuse de se lever.

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Après avoir été bloqué dans un manège, tu aurais pu en avoir marre de la fête foraine. Payé pour rester la tête dans le vide, pas trop cool. Mais tu n'étais pas venu pour toi, tu étais venue pour ta petite sœur Mia, que tu n'as plus le droit d'approcher. Cette situation avait amusé la petite en te voyant de loin. Elle savait qu'il ne fallait rien dire et ça te faisait un bien fou de la savoir là, près de toi, mais en même temps tellement loin. Tu tentes de ne pas te faire voir de sa famille d'accueil et tu continues de la suivre. La suite du programme était le cirque. Cela t'étonnait un peu, ta petite sœur n'aimait pas ça. Tu veilles à t'asseoir pas trop loin d'elle et son petit coup d'œil te fait chaud au cœur. Mais encore une fois, la fête foraine était joueuse. Et il a fallu qu'un cinglé vienne gâcher la bonne humeur de tout le monde. Il a fallu d'un coup de feu pour effrayer tout le monde et voilà que tout le monde se retrouvait en panique et cherche d'où vient ce bruit. Et il est apparu. Cet homme qui semblait tout droit sortit d'un film, parce que ce genre de choses ne se fait que dans les films non ? Ta vie était merdique pour savoir que tout pouvait arrêter. Tu jettes un coup d'oeil à Mia qui te regarde de loin, les yeux remplis de larmes.

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L'idée du siècle ! Alors que la jeune femme avait traîné son petit ami à la fête foraine - qu'il n'aimait pas tellement, n'étant pas adepte des manèges à sensation - Arthur avait décidé de retourner la situation en sa faveur en entraînant Eva dans un chapiteau de cirque. Qui disait cirque, disait clown. Et elle détestait les clowns ! Alors, c'était résignée qu'elle se retrouvait là, à attendre que le spectacle commence, prête à regarder son téléphone portable quand un clown apparaîtra. Mais le clown ne viendra jamais.. .Un coup de feu retentit. La panique s'empara de la foule, entre cris, pleurs, stupeurs et fuite pour certains. Puis, étrangement, un silence de mort se fit entendre. Un homme armé apparut au centre de la scène, maîtrisant la foule sans un mot. Arthur attrapa sa petite amie pour qu'elle s'installe à ses côtés, blottie tout contre lui. Mais alors qu'elle regardait les visages apeurés qui l'entouraient, son regard s'arrêta sur cette petite, à trois mètres à peine, qu'elle ne connaissait que trop bien. Mia. "Eva !" souffla Arthur quand elle se détacha de lui. Sans réfléchir et malgré Arthur qui tentait de la retenir, elle se déplaça doucement, discrètement, s'arrêtant quand l'homme armé avait le regard posé de leur côté. Puis elle reprenait doucement son avancée jusqu'à ce qu'elle puisse poser sa main sur l'épaule de la petite fille. Quand cette dernière croisa son regard et qu'elle reconnut Eva, elle se jeta directement dans ses bras. Eva la serra fort contre elle, déposant un baiser réconfortant sur le crâne de la petite. Et quand elle redressa le regard, elle le vit. Lui. Hélias...

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Alors que j’avais passé une bonne et grosse journée en ce lieu, j’allais alors vers la sortie. Il avait toujours beaucoup de monde, au moins la journée était fini, j'allais enfin me reposer de cette grosse journée. Alors que je marchai, j’attends aussitôt un coup de feu. Je regarde autour de moi tout le monde était en panique, je regarde devant moi pour ensuite apercevoir le tireur. Je fige un moment et je le regarde attentivement. Pour ensuite courir comme je pouvais, quand d’un coup, je me fais percuter par quelqu’un. Je gémis aussitôt alors que je tombais sur le sol, je grimace aussitôt. Pour ensuite me relever et je regarde autour de moi, je ne savais vraiment pas où aller d’un coup. Voilà que je vivais cela réellement et non pour un film, c’était vraiment surréaliste ce qui se passait. J’étais assez nerveux, car je ne voulais pas être touché par ce tireur. J’espérais non plus de ne voir personne de blessé déjà que je l’étais pour une autre raison. Surtout pas des jeunes, car je ne voulais pas me rappeler la mort de ma sœur et mon frère. Je me demandais bien, comment tout cela allait finir. J’espérais non plus qu’il n’allait pas avoir beaucoup de morts. J’avais vraiment envie de me jeter sur le tireur d’un coup, mais je n’allais pas prendre cette chance pour le moment.

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Tu ne savais pas vraiment pourquoi tu étais là. Autant tu aimais la fête forraine et ses jeux, autant le cirque avait le don de te rendre folle. Voir ses pauvres bêtes traitées de cette manière, franchement ça te donnait rapidement envie de tout cassé. Et oui, surprise, il y a un coeur sous cette diabolique blondinette qui est plus du genre à taper le chien qu'à l'aider. Alors, tu décides de ne pas rentrer sous le chapiteau. Tu t'installes à l'extérieur avec quelques autres membres du gang, vos blousons sur le dos, vos regards noirs comme accueil et puis quand le coup de feu se fait entendre, vous êtes surpris par un sursaut. Cela n'était pas prévu même si vous saviez qu'il y avait de grandes chances pour que les flics vous le collent sur le dos. Vous vous regardez et vous savez que certains des vôtres sont à l'intérieur alors aussi stupide que cela soit, vous vous approchez de la porte alors que tout le monde veut en sortir. Mais c'est comme ça, vous êtes une famille et on ne laisse pas l'un des siens à l'intérieur. Surtout quand on sait que votre chef y est. Evidemment, tu n'es pas stupide non plus, tu laisses les garçons jouer les coqs et vous faire un passage. Toi, tu te places bien tranquillement derrière eux. Parce que oui, tu ne le montres pas mais tu sais que tu n'es qu'une humaine alors forcément, tu as un peu peur.

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La fête foraine

Il est heureux, il se sent puissant l'arme a feu entre ses mains. Il pense que rien ne peut l'atteindre. Il jouit de la puissance qu'il face à ce groupe de personnes à genoux. Il rigole, se tient haut et bien droit. Évidemment quand tu es du bon côté du pistolet, tu ne crains rien. Il les regardes l'un après l'autre, cherchant celui qui aura le courage de le défier, c'est à se moment là qu'une jeune femme (Eva) ce glisse pour changer de place. Il tire la frôlant d'un millimètre. "C'est moi qui décide si vous changez de place ou pas." Il rit haut et fort devant le regard paniqué des autres gens. Il se sent puissant. "Est si on s'amuser un peu." Il se gratte le menton recherchant quelle sorte de jeu il va pouvoir jouer. "Ne faites pas cette tête de deux pieds de long, vous allez également jouer avec moi." Il rigole encore, il se met à chanter amstragram avant de s'arrêter sur Hélias. "Toi, tu sembles avoir une grande bouche, j'ai une énigme pour toi." Il reprends son souffle et pointe à nouveau son arme sur le jeune homme. "Le fils de cet homme est le père de mon fils. Sachant que je ne suis pas une femme, quel est le lien de parenté entre cet homme et moi ?" Il jubile devant la tête apeuré et devant l'incompréhension de tous les autres. "Réponds ou je tire sur.." Il fait un tour sur lui-même. "Sur cette jolie blondinette." (Cateyana)

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EXORDIUM.

Tu ne sais pas comment réagir face à tout ça. Une partie de toi te dit de l'attraper pendant qu'il a les yeux tourné, mais une autre partie de toi est tétanisé. Tu regardes ta voisine, une femme grande et fine, blonde, tu sens qu'elle aimerait te dire quelques choses, mais elle ne dit rien et comment lui en vouloir. Tu tentes de chopper ton téléphone pour appel le numéro d'urgence, mais ton téléphone tombe au pied de ta voisine. Tu te mords la lèvre en murmurant désolé. Le tireur s'amuse avec un jeune homme à un peu plus vieux que toi, tu te dis que c'est le moment où jamais. Mais quand il pointe son arme sur une demoiselle et surtout à côté d'une enfant, tu te retiens. Ta vie, pourquoi pas, mais surtout pas celle d'une enfant. "VOUS NOUS VOULEZ QUOI?" Arrives-tu à dire, enfin. Tu joues les hommes, mais tu as très peur.

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EXORDIUM.

Mae n’avait pas repéré Zola dans la foule. Elle espérait que sa petite soeur ne se trouvait pas dans un endroit hors de son champ de vision. Occupée à chercher Zola du regard, et à surveiller les allées et venues du tireur, elle n’avait pas prêté attention à son voisin, qui tentait de sortir son téléphone. Téléphone qui tomba sur le sol, tout près d’elle. Par chance, le tireur était distrait par une demoiselle qui tentait de se déplacer discrètement. Comme le reste de la foule, elle sursauta lorsqu’un nouveau coup de feu retentit, passant tout près de la demoiselle.
Elle devait penser vite, avant qu’il remarque le téléphone sur le sol. Profitant qu’il soit occupé à chanter, réfléchissant à la manière dont il allait pouvoir les torturer tous - physiquement ? psychologiquement ? un peu les deux ? - elle poussa du pied le téléphone. Pas de geste brusque. Elle devait au moins réussir à le cacher et par chance - pour elle, en tout cas - il décida de pointer son arme sur un jeune homme au visage familier, sans qu’elle arrive à le replacer. Son attention n’était pas sur elle, et elle en profita pour rapprocher le téléphone, et le glisser sous son sac, juste à côté d’elle. Hors de vue. Juste à temps, d’ailleurs, car son propriétaire s’était d’un coup mis à crier après le tireur. Elle lui jeta un regard alarmé, remuant doucement la tête de gauche à droite. Pas que sa question, ou sa panique, en soit pas légitime, mais hurler ? Probablement pas la meilleure idée. Trop tard. Elle ne pouvait pas le blâmer, vraiment, il y avait de quoi paniquer. Elle était aussi terrorisée que les autres, honnêtement, elle était juste plus douée pour le cacher et garder son sang froid.

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Comme l'impression d'insister à un film, j'espère en cachette être dans un mauvais rêve. J'ai remarqué à quelques centimètres de moi une blonde dont je venais de faire la connaissance. Beth était là entourée de nombreux hommes en veste de cuir. Je ne sais pas trop quoi penser, j'ai très peur. Surtout quand il décide de me nommer victime numéro une si cet homme n'arrive pas à répondre à sa devinette. Je ne pense qu'à une chose, la danse, est-ce que je ne pourrais plus danser? Je suis entre la vie et la mort et je ne pense qu'à mon examen de danse. Ginny me contaminerait bien plus que j'aime le penser. Le roux devant moi qui semblai si paniqué une minute avant se lève pour affronter l'homme au pistolet. Je fronce les sourcils, quelle réaction exagérée et idiote, nous sommes tous morts par sa faute. En même, je n'ai rien d'autre à proposer. Donc je ne peux rien dire.

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Je m’approche enfin de l’action et du tireur, pour ensuite le regarder à ses paroles. Non mais il nous voulait quoi ce type. Je regarde les autres personnes autour de moi qui étais proche de celui-ci. Je devais à mon tour réussir enfin à parler, j’observe aussitôt le tireur d'un regard froid et rempli de défis. Il allait voir, ce que j’étais capable de faire même blessé. Je m’approche de lui pour aussitôt me mettre directement devant lui. Tout en n’étant sur mes gardes tout de même, je regarde longuement le fusil.

Vous faites quoi ici partez, ses familles ne vous a rien demandé !

Je me recule légèrement, pour ensuite soutenir son regard. J’étais à un cheveu de me jeter sur lui et de lui prendre son arme. J'avais juste l’impression de revoir mon père en face de moi. Il lui ressemblait même beaucoup, je devrais dire, je voulais simplement me venger d’un coup. Les autres autour de moi devaient me trouver fou, mais j'étais parfois comme cela surtout, ses temps-ci. Fallais appeler les flics et vite maintenant. J’avais terriblement mal à l’épaule d’un coup, mais je ne devais pas lui montrer. Je regarde autour de moi pour ensuite respirer rapidement d’un coup et je le regarde d'un regard noir.

Foutez le camp d’ici !

J’espérais qu’il n’allait pas tirer tout de même, car je ne voudrais pas, me retrouver dans un hôpital blessé. Même si je restais déjà là-bas en quelques sortes.

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Le destin pouvait être cruel parfois. Il aimait s'amuser avec ces proies en prenant un malin plaisir à gâcher ou non des vies. Que le monde était petit. Tu te retrouvais sous ce chapiteau pour être auprès de ta sœur, la surveiller, être sûr que sa famille d'accueil prenne bien soin d'elle. Et alors que le coup de feu avait retenti, ton regard s'était posé sur Mia, effrayé, les yeux remplie de larmes. Tu ne pouvais rien faire et ça te tuait. Tu avais été impuissant quand on te l'avait retiré et tu l'es une nouvelle fois, face à un fou furieux. Tu observes un peu la foule, apeuré. Tu ne fais pas autant le malin que lorsque tu te retrouves sur le ring où c'est toi le plus fort. Non, là, il s'agit d'une arme qui pouvait blesser n'importe qui, femme, enfants, tout le monde était menacé. Quand tu reposes sur les yeux sur Mia, il a fallu que tu tombes sur elle. Eva. Non. Les deux personnes que tu aimais le plus au monde se trouvaient à quelques mètres de toi, en danger et tu ne pouvais pas être leur sauveur. Mais tu étais rassuré de savoir Mia dans les bras d'Eva. Tu souris légèrement, face à cette situation, jusqu'à que l'arme pointe sur toi. Est-ce ça, dont Beth avait voulu te prévenir ? Faisait-il parti du gang qui venait se venger ? Non. Ils agissent en toute discrétion. C'était juste un fou qui voulait s'amuser. Et voilà qu'il voulait jouer en te proposant une devinette tout en menaçant une fille non loin de toi si tu ne réponds pas correctement. Mia. Il n'y a qu'elle qui est dans tes pensées en ce moment même. Tu devais tout faire pour elle et ne pas la laisser tomber encore une fois. Tu jettes un coup d'œil vers elle et avant de pouvoir répondre, une autre personne venait de hurler en demandant ce qu'il voulait. Mauvais timing, il n'avait pas l'air d'apprécier ça. Mais voyant que la situation commençait à aller dans le mauvais sens, tu sentais qu'il allait s'énerver. Ton père était pareil. Il laissait passer, jusqu'à être bien remonté et là, ça explosait. Inconsciemment, tu te lèves, le pistolet toujours braqué sur toi. Oh, tu as peur Hélias, mais il faut désamorcer la bombe et ne pas lui faire perdre patience. " la réponse est mon père ! " Tu parais confiant, tu le défies du regard, tentant de gagner du temps, mais tu sais que cette histoire terminera mal.

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Dès l'instant où Eva avait posé son regard sur Mia, si petite, si vulnérable, elle s'était mise en tête de la rejoindre. La petite fille était pourtant avec sa famille d'accueil, mais un réconfort de plus ne pouvait être négligeable. Alors, elle s'était extirpée de l'étreinte de son petit ami, rejoignant discrètement la petite fille. Mais l'homme n'était pas dupe. Il remarqua le manège d'Eva. Alors quand il tira en sa direction, la jeune femme ferma les yeux et se recroquevilla, un juron s'échappant de ses lèvres. La balle l'avait frôlé, mais elle savait que la prochaine fois, c'était elle qu'il viserait directement. Heureusement, Mia était à portée d'elle. Elle s'empressa d'enrouler ses bras autour de la petite fille, qui se colla tout contre elle. Eva jeta un regard en arrière, voyant son petit ami, le regard apeuré. Il allait probablement la traiter d'irresponsable.... si jamais ils s'en sortaient. Et alors que ses yeux regardaient les autres victimes, elle s'arrêta sur un visage bien trop connu. Comme si la situation n'était déjà pas assez difficile, il fallait qu'Hélias soit là, lui aussi. Elle croisa son regard et fit un simple hochement de tête, afin de lui dire silencieusement que ça allait. Qu'elle allait prendre soin de Mia. L'affolement se lut cependant rapidement sur son visage quand elle vit l'homme pointer son arme sur Hélias. Il n'y avait pas pire vision pour elle. Les larmes lui montèrent aux yeux, mais elle n'avait pas le droit de craquer. Mia ne devait pas voir cela. Ne regarde surtout pas ! lui dit-elle, la plaçant de façon à ce que Mia regarde derrière Eva. L'homme armé lança son jeu sadique, menaçant une autre femme si Hélias répondait mal. Eva avait du mal à assimiler ce qu'il se passait. Mais en voyant deux hommes se manifester, s'adressant directement à l'homme, la jeune femme eut la terrible impression que cela allait mal se passer. Sans doute n'était-elle pas la seule à avoir ce ressenti, puisqu'à cet instant précis, Hélias se leva et donna sa réponse, ramenant l'attention de l'homme vers lui. Cela ne durait que quelques secondes, mais en voyant son meilleur ami face à l'homme, Eva avait l'impression que son coeur s'arrêtait...

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Tu sais qu'ils sont impulsifs, tu sais que les hommes que tu es en train de suivre peuvent être violent mais tu sais qu'ils peuvent être protecteur. Sans eux, tu aurais probablement pris la fuite ou pas, après tout l'homme à l'intérieur n'est pas n'importe qui. Ca te ferais presque réalisé que tu devrais lui dire la vérité. Mais ce n'est clairement pas le moment de penser à ça. Vous n'aviez pas été jusqu'au milieu de l'arène, vous n'étiez pas stupide au point de vous livrez, non. Vous étiez dans l'ombre, caché sous les gradins, prêt à intervenir en renfort même si tu as bien conscience que face à un tireur, le jeu est truqué. Vous suivez la scène, tu reconnais des visages familiers, des visages qui te ramènent des années en arrière et puis, le tireur place son flic face à une demoiselle que tu connais un peu, tu sais qu'elle a la tête dure, qu'elle a du caractère. Autant que tu sais que les deux hommes qui ont décidés de jouer les coqs auraient mieux fait de se taire. Au moins pour quelques minutes encore, tu devinais bien que les flics n'allaient pas tarder à intervenir. Encore plus vite quand les témoins leurs diront que vous êtes à l'intérieur. Tu allais intervenir, enfin jouer de tes doigts de fée pour couper l'électricité quand Helias avait pris la parole pour répondre au tireur. Est-ce que cela serait suffisant ? Quoiqu'il en soit, de ton côté, tu venais de prendre le contrôle du système informatique. Prête à lancer une musique ou à couper les lumières si tu voyais que les choses tournaient mal.

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La fête foraine

Il est tellement gratifiant pour lui de voir ses regards affolés posé sur lui. Il s'amuse, jubile de la peur qu'il peut engendré fasse aux personnes plus faibles que lui. Est-ce vraiment le mot qu'on peut donner à ces personnes ? Au final, ils font ce que cet homme demande juste parce qu'il a une arme. Deux hommes s'amusent à faire les coqs, il décide de frapper plus fort, il tire dans la jambe de Thomas puis pose son arme sur le crane d'Ewan. "Tu as beaucoup de choses à dire pour une personne avec une si petite tête." Il rigole de plus en fort plus fort. "On va voir s'il y en a autant là-dedans que dans tes muscles." Réplique t-il en montrant sa tête. "Lorsqu'on me nomme, je n'existe plus. Qui suis-je ?" Puis il retourne vers Hélias qui vient de trouver la bonne réponses. "Effectivement, c'est une bonne réponse! Tu n'es pas drôle." Pour ce venger, il se positionne entre Eva et Cateyana. "Je me demande ce qui t'a motivé le plus, la charmante brune ou la blondinette." Dit-il en faisant glisser son arme sur leurs joues. Il entend un bruit étrange et quand il se retourne, il voit une chevelure blonde faisant quelques choses d'étrange. Il attrape la jeune Beth par les cheveux. "En voilà une qui joue les sauveuses! Tu sais ce que je fais aux sauveuses!" Il assomme la jolie demoiselle d'un coup de point.

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Why relive this

Je regarde l'homme d'un regard terriblement noire, pour ensuite prier quand je sens le fusil sur le côté de ma tête. Je respire du même coup assez rapidement, effectivement j'avais beaucoup de choses à dire, mais cela seulement quand je le voulais. J'allais répondre à ses autres paroles, mais un autre gars le fait à ma place, je le regarde longuement. Pour ensuite regarder l'homme, qui s'est fait tirer dans la jambe voir s'il s'en sortait. Je regarde de nouveau le tireur qui était avec deux filles. J'allais aussitôt voir la jeune blonde pour l'aider, je la regarde longuement. Après quelques secondes, je viens aussitôt rendre l'appareil au tireur. Je me recule aussitôt pour ensuite aller revoir la jeune blonde.

Ça va ? Vous allez bien...

J'enlève aussitôt mon haut laissant voir ma blessure, pour ensuite le lancer vers celui qui savait fait tirer. Cela n'était pas trop, mais pour le moment cela pouvait faire l'affaire s'il le serrais comme il devait le faire. Je tremblais soudainement, je ne me sentais vraiment pas bien d'un coup. Je regarde autour de moi, tout en restant auprès de la jolie blonde.

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EXORDIUM.

Tu avais probablement agi trop hâtivement comme d'habitude, te laissant guider par tes émotions. Tu avais tenté de rentrer en altération avec le tireur, mais cela t'était retourner contre toi. La jambe en sang, ton visage devenant pâle, tu ne faisais plus autant le malin. Regardant presque outré comment cet homme pouvait frapper une femme, tu n'avais qu'une seule envie prendre sa défense, essayant de te relever en vain. Tu étais donc incapable d'aider une femme battue, peut-être que ta meilleure amie avait finalement raison. Tu regardes l'autre homme frappé à son tour le tireur et cela te fait rire, mais cela semble amusé l'agresseur. Au début, tu te demandes pourquoi il retire son tee-shirt, mais tu comprends finalement que c'est pour t'aider. Serrant son bout de tissus au-dessus de ta blessure pour t'empêcher de te vider de ton sang. "Étrangement j'ai connu mieux comme situation". Réponds-tu à l'homme en question.

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J'ai comme le sentiment que le tireur à quelques chos0se après moi et je n'ai rien dit. Je me suis contenue malgré mon fort caractère. Je ne fais pas la maligne, je n'ai pas l'habitude qu'on me pointe une arme sur la tête. J'ai le sentiment que Melbourne n'est plus aussi fiable qu'avant. Après l'agression l'autre soir, je ne sais pas, si j'arriverais à sortir de nouveau en ville. Le tireur est à côté de moi et je regarde avec peur ma voisine brune. Elle qui tient une petite fille dans ses bras, j'ai de la pitié pour elle, elle ne devrait pas vivre cela. L'âge de l'innocence représente encore quelques choses pour cette ville. Quand il frappe Beth, je ne sais pas pourquoi je m'avance vers elle pour regarder si tout va bien. Je vérifie son pouls elle semble un peu dans les vape, je pose sa tête sur mes genou, ils tremblent, mais je tente de l'aider au mieux que je peux. Un homme assez musclé confronte le tireur et vient vers Beth pour savoir si elle va bien. "Elle semble un peu dans les vap" Répondais-je à sa place sans savoir pourquoi, mais en n'oubliant pas le tireur.

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EXORDIUM.

Mae avait envie de hurler. Hurler après le tireur. Hurler après cette bande de super-héros en culottes courtes. Elle comprenait que personne n’était dans son état normal, la panique affectait tout le monde différemment. Mae était juste plus entraînée que les autres à l’art de la fermer et d’attendre que la tempête passe quand la situation autour d’elle dégénérait - même si se retrouver enfermée avec un zinzin armé était une première.

Sans grande surprise, cette agitation ne plaisait pas au tireur, qui continua son petit jeu. Des coups furent tirés, des coups échangés, et Mae fit la seule chose utile qu’elle pouvait faire sans se tracer une cible entre les deux yeux : venir en aide à son voisin (Thomas). C’était pas très malin, tu t’en rends compte j’espère ? demanda-t-elle, lui prenant des mains le t-shirt qu’il s’apprêtait à nouer autour de sa jambe. Utilise plutôt ça, dit-elle, lui tendant l’écharpe fine qu’elle avait autour du cou. Pardon, ça va faire mal. ajouta-t-elle, avant de prendre le t-shirt pour faire pression sur sa blessure. Premier secours 101 : première chose à faire, stopper l’hémorragie. Enfin, la première chose à faire c’était de trouver un endroit sûr mais vu les circonstances. Gardant à l’oeil le tireur, Mae fini par ajouter, sans relâcher la pression sur la jambe de l’inconnu Ton téléphone, sous mon sac. Elle espérait qu’il comprendrait où elle voulait en venir, c’était après tout ce qu’il avait voulu faire plus tôt, mais cette fois sa position lui offrait au moins un peu de discrétion.

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Why relive this

Je regarde longuement @Thomas Bellamy pour ensuite, lui sourire. Effectivement, cette situation n’était pas bien pour tout le monde, mais surtout quand on se faisait tirer dessus. J’avais regardé aussitôt @Cateyana Granger et je regarde aussitôt Beth. Au moins elle semblait aller bien, mais on devait encore la surveiller. Je regarde longuement le tireur. Pour ensuite essayer de réveiller la blonde. J’attends aussitôt les paroles de @Ella-Mae Stuart je la regarde s’occuper de celui-ci, elle avait l’air de savoir quoi faire. Je viens soudainement me reculer légèrement pour ensuite grimacer. Mais je surveillais toujours la blonde, je me lève aussitôt. Pour ensuite hurler, je regarde aussitôt le tireur d’un regard terriblement froid. Pour soudainement sentir des larmes couler. Je regarde tour à tour les autres à mes côtés, pour marcher soudainement difficilement. Je regarde aussitôt @Ella-Mae Stuart et @Cateyana Granger.

Si je peux vous aider pendant que je peux encore, je suis là…

Je tremble aussitôt et je regarde autour de moi, pour soudainement m’écrouler au sol. Pourquoi on m’avait fait ses blessures pourquoi je devais subir cela. Je ne voulais qu’une chose rentrer à ma villa en sécurité et rien d’autres. Je regarde de nouveau vers le tireur et je ferme aussitôt les yeux. J’étais complètement épuisée d’un coup même si j’étais en forme.

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Le coup était parti. Aussi affolé, étaient-ils, les gens restaient silencieux, mais la peur dans leurs yeux se lisait bien. Toutefois, il y avait deux types qui tentait d'agir et sur le coup, c'était plutôt idiot. Ils n'avaient rien contre une arme chargée. Ils ne savaient pas dans quoi, ils se lançaient. L'un s'était fait tirer dessus, mais tu t'en fichais, pour le moment, tu étais bien plus inquiet sur les menaces que proféraient le tireur avait bien remarqué ton regard persistant de l'autre côté. Et quand il se positionna entre Eva et une autre fille, ton cœur commença à accéléré. Pourriture. Ta sœur est en larmes, cachée dans les bras d'Eva. Tu respires, lentement. Tu regrettes le temps où ton père t'avais donné une arme pour ta protection. À l'époque, tu disais qu'il était complètement taré et que jamais tu toucherais à ça. Aujourd'hui, tu le regrettais. Est-ce que tu pouvais te permettre de jouer les héros Hélias ? Non. Pas quand la vie d'Eva et de Mia étaient en danger. Et aussi égoïste que cela pouvait être, tu espérais au fond qu'un abrutit veuille encore jouer au héros et attire l'attention du tireur. Ton portable, qui était, sortit depuis le début tentait d'appeler une personne, tu avais composé son numéro sans réfléchir au début de tout ce bordel, et tu venais de te rendre compte à l'instant que cette personne ne risquait pas de répondre. Elle était juste là. C'était " l'abruti " qui venait de jouer au héros. Beth. Tu veux la rejoindre, tu veux savoir si elle va bien. Mais tu sais aussi qu'elle n'est pas venue seule, elle n'est jamais seule. Tu tentes de te décaler tout doucement, te faufilant pour te rapprocher un peu plus de là où se trouvait Beth.

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Haut les mains !

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Le coup de feu était parti, poussant Eva à fermer les yeux et à resserrer son étreinte autour de Mia. Elle sentit que la petite soeur d'Hélias s'accrochait à elle, comme si elle était son ancre. Et Eva n'avait pas le droit de flancher. Quand elle regarda le jeune homme à qui on avait tiré dans la jambe (Thomas), elle vit que l'on s'occupait déjà de lui. Mais ses pensées furent dirigées vers Hélias, qui donna la bonne réponse à la première énigme. De quoi énerver le tireur, qui se dirigea vers l'endroit où Eva se trouvait, en compagnie de la jeune femme qui était la cible de l'énigme (Cateyana). Elle lui jeta le même regard apeuré, réprimant un frisson en sentant la froideur du canon de l'arme sur sa joue. Mais elle garda son regard sur le tireur, presque avec provocation. Elle se retint de lui lâcher un "pauvre con" qui n'aurait sûrement pas arranger la situation. Elle avait vu ce que cela donnait de l'ouvrir un peu trop. Et elle en eut encore la preuve quand le tireur s'éloigna des deux femmes pour aller s'attaquer à une autre personne. Une personne qu'Eva reconnut rapidement. Beth. Elle se reçut un coup de poing qui l'assomma. Plusieurs personnes tentèrent de la rejoindre, dont Hélias qui se glissait subtilement jusqu'à elle. Eva lui jeta un regard inquiet, guettant le tireur afin de vérifier qu'il ne remarque pas la combine de son meilleur ami. Mais son regard fut ensuite attiré par le deuxième fanfaron @Ewan Mhàiri, qui venait de s'écrouler à terre. Eva avança doucement jusqu'à lui, Mia toujours accrochée à elle, et posa une main douce sur son épaule. Elle murmura à son égard, inquiète : "Eh ça va ?"

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« Si on oublie le look panda » Oui, tu n’es pas vraiment du genre à te plaindre ou à faire dans la dentelle, c'était bien plus naturelle qu'on le pensait. Un coup de poing, clairement, tu ne l'avais pas vu venir et heureusement parce que si ça avait été le cas, tu aurais été encore plus stupide qu'on ne pourrait le penser. Mais malgré ton petit gabarit, ce n'est ni le premier, ni le dernier coup de poing de ta vie même si celui là te met en rogne. Evidemment, tu ne le diras pas, tu n'es pas si stupide mais en général, il y a une bonne raison quand tu te prends un coup. Pas là. Il te faut quelques minutes pour reprendre complétement connaissance et tu découvres des visages plus ou moins connue autour de toi. Et tu comprends rapidement que tu as plus de chance que le beau gosse un peu plus loin qui semble avoir pris une balle. Tu te relèves et tu gardes un oeil sur le tireur mais ce n'est pas lui que tu cherches, c'est ton portable, tu étais tellement proche du but. Tu finis par le trouver et tu remarques aussi qu'une personne est très proche de luI. Helias. Tu ne sais pas trop si tu es contente de le voir ou pas, mais ce n'est pas le moment de la jouer nostalgique, tu captes son regard et tu tentes de lui indiqué discrètement ton téléphone au sol. Espérant que vos années d'enfantillage seraient encore un peu dans sa mémoire et que les lignes de code sur ton téléphone lui rappelle ses blagues stupides avec les lumières de votre rue. Tu dois faire diversion, tu le sais alors toujours sur le sol, tu poses une simple question sans provocation. Tu veux simplement que son regard soit sur toi. « Je ne veux pas vous provoquez, j'ai bien compris que .. Mais pourquoi ? Personne ne fait cela par hasard. »

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