*En fin de matinée, Charlotte avait reçu un message de Dario l'invitant au restaurant le soir même. Les financent n'était pas au beau fixe, alors pourquoi l'invitait-il au restaurant en plein milieu de la semaine? Après tout elle s'en moquait un peu, car elle pourrait passer un peu de temps avec l'homme qu'elle aimait plus que tout. Entre ses répétitions au théâtre, les représentations et le travail de Dario, les amoureux passaient peu de temps ensemble. Puis le secret qu'avait Charly n'arrangeait pas à éloignement du couple. Cela faisait déjà un petit moment qu'ils étaient arrivés à Melbourne et peu de temps après la jeune femme avait apprit qu'elle était enceinte. Cependant, elle n'en avait pas parlé à Dario, peur de sa réaction sûrement. Après la fin de la répétition de l'après-midi, Charlotte rentra dans le petit appartement qu'ils louaient. Ce n'était pas le grand luxe, mais elle s'en fichait un peu, car elle était avec l'amour de sa vie et cela lui suffisait amplement. Elle enfila une jolie petite robe qu'elle avait réussi à emporter avec elle lors de leur fuite la veille de son mariage arrangeait. Elle se rendit compte que la robe commençait à la serrer un peu au niveau du ventre, mais rien d'alarmant pour le moment. C'était le risque de n'avoir rien dit pour le moment à Dario de sa grossesse. Tout en finissant de se préparer pour cette sortie, elle réfléchissait à leur avenir et à comment ils allaient faire avec l'arriver d'un troisième membre dans la famille. Cette pensée fut vite rattrapée par l'heure qui continuer de défiler sur l'horloge et si elle ne partait pas maintenant elle risquait d'être en retard au rendez-vous. Après un court trajet en taxi, Charlotte attendait Dario devant une librairie. Elle ne comprit pas tout de suite pourquoi il lui avait donné rendez-vous ici et pas devant le restaurant. À moins de vouloir lui faire une surprise sur l'endroit dans lequel il l'amenait.*
C'était le grand soir, tu le savais, ta vie entière allait changer maintenant que ce bébé était là. Mais tu en voulais plus, tu ne voulais pas simplement de ce bébé, c'est Charlotte que tu veux dans ta vie et pour toujours. Alors, tu t'habilles dans les vestiaires du boulot, tu imagines les nombreuses possiblités que tu as de poser cette question. Dans la journée, tu avais envoyé un message à Charlotte lui proposant un petit restaurant. C'est un endroit que vous ne faites pas beaucoup en ce moment. C'est financièrement compliqué, mais tu en vois le bout. Ton amie Ileana t'a proposé de garder son bar sur la plage durant son absence. Elle t'offre une bonne paie, cela signifie deux boulots, mais une vie un peu plus simple. Surtout que plus avance la grossesse de ta copine et plus elle va avoir besoin de confort et de repos. Tu enfiles un costume trois pièces, ce n'est pas dans tes habitudes, tes collègue t'appelle le canard, mais cela n'a pas d'importance. C'est pour la bonne cause. La seule personne qui compte à tes yeux va pas tarder à arriver à votre point de rendez vous. Devant une librairie, mais pas n'importe laquelle. Quand tu arrives là-haut ta femme t'attend, cela ne t'arrive pas souvent, mais il faut croire que tu t'es fait attendre. "Hey toi!" Dis-tu timidement avant de l'embrasser. Ses lèvres que tu aimes tans, ses lèvres dont tu ne te lasse pas. "Tu ne m'attends pas depuis longtemps ?" Et voilà que la boule au ventre revient. Tu aimerais tellement lui faire passer une magnifique soirée. Tu n'as pas peur de ta question, tu sais que Charlotte est la femme de ta vie, mais tu as peur de sa question. Est-ce qu'elle le veut vraiment ? Est-ce la vie qu'elle souhaite ? Le luxe lui manque peut-être. Tu doutes, tu as peur, mais tu veux sauter le pas.
Depuis que j’avais reçue le message de Dario je stressais. Le matin même je lui avais annoncée ma grossesse et sa réaction m’avait donnée le sourire tout le reste de la journée. J’avais tellement peur de sa réaction à cette nouvelle, mais finalement je m’étais fait des films pour rien. Je savais que les mois à venir risquer d’être difficile pour moi, heureusement que je pouvais compter sur Dario. Il était toujours là pour moi à n’importe quel moment et je m’en étais rendue compte un peu trop tard.Maintenant me voilà devant la librairie depuis environ deux minutes quand j’entendis une voix que je pourrais reconnaître entre milles, douce et réconfortante en même temps. «Salut toi» Je répondis au baiser. Je pourrais t’embrasser toute la journée si je pouvais le faire, malheureusement on ne pouvait pas vivre seulement d’amour. Quand tu me posa la question je savais que tu avais peur de m’avoir fait attendre. Pour te rassurer je te regardai droit dans les yeux et parla d’une voix rassurante.«Ne t’inquiète pas ça fat que deux minutes que je suis arrivée. De plus je suis en avance, alors ne t’en fais du tout d’accord?» Je pris tes mains dans les miennes et ne quittait pas ton regard. Je voulais te rassurer et j’avais senti dans ta voix comme une once de peur. «J’aimerais bien savoir ce qui ce passe dans cette jolie tête blonde?» Je passais mes bras autour de ton cou, je voulais savoir ce que tu me cachais.
Tu savais éperdument que ta vie allait se passer avec la belle Charlotte. Dans le passé tu as aimé, tu es déjà tombé sous le charme d'une femme, mais jamais comme tu l'aimais elle. Cette jolie femme avec sa douceur et pourtant sa fougue, son caractère que tu aimais pour les qualités comme pour les défauts. Quand tu es avec elle, tu veux tellement la rendre heureuse et il t'arrive de beaucoup t'inquiéter. Il t'arrive de te mettre beaucoup de pression, alors que la seule chose qu'elle te demande c'est de l'aimer en retour. Mais cela sonne tellement comme une évidence que tu as toujours peur de mal t'y prendre. Tu es heureux de pouvoir retrouver celle qui fait battre ton coeur. Tu ne peux pas le nier, tu es aussi remplit de doute, remplit d'incertitude, mais tu sais que c'est le moment. Vous allez avoir un enfant, votre famille va s'agrandir et tu veux montrer à tous ton amour. La ponctualité c'est toujours quelques chose d'important pour toi surtout quand il s'agit de rejoindre ta petite amie. "Ouf! Tu sais que je n'aime pas te faire attendre, ma chérie." Vous êtes encore au stade de la relation amoureuse ou tout est beau et rose. Vous vous embrassez dès que vous pouvez, vous riez et vous vous donnez beaucoup d'amour. Ta bien aimée passe ses bras autour de cou en te demandant ce que tu lui réserves. Tu rigoles, quelle curiosité peut-elle avoir. Tu l'embrasses le front en lui répondant. "Chaque chose en son temps ma chérie, sinon ça ne serait plus une surprise." Tu attrapes la main de ta douce petite amie et vous dirigez vers la bibliothèque. De la vitrine on peut observer une étagère remplit de livre sur la culture Espagnol/Française. "Tu sais Charly, c'est grâce à cette librairie que j'ai eue envie de commencer mon voyage autour du monde par la France." Tu as fait un arrêt par l'Espagne avant, mais seulement, car il n'y avait pas de vol direct pour Paris.
Tu savais qu’il était l’homme de ta vie, tu l’avais su dès le premier regard. Tu n’étais jamais tombée amoureuse avant lui, même si tu as eu quelques relations. Elles ne duraient jamais, à ce moment là tu te disais que c’était sûrement à cause de ton destin, mais avec le temps tu y avais réfléchit et rendue tout simplement compte que tu n’étais jamais tombée amoureuse d’un de ces hommes. Mais avec Dario c’était complètement différent, tu étais prête à tout pour lui. Les liens qui vous unissent sont tellement puissants et fort en même temps que parfois il vous arrivez d’oublier que vous n’étiez pas seuls. Tu es heureuse avec lui et tout ce que tu attends de lui c’est qu’il t’aime et te respecte pour ce que tu es. «Je sais que tu n’aimes pas ça mon amour, mais je sais aussi que ton travail te demande beaucoup de temps et que si tes collègues ont besoin de toi tu ne diras pas non.» Tu adores l’embrasser à n’importe quel moment, ses lèvres sont si douces et délicates que tu ne peux t’en passer. Certes cela est sûrement difficile à comprendre pour de nombreuse personnes, mais tu t’en fichais, tu veux seulement l’embrasser. Tu aimes aussi son rire, car tu sais qu’il est content et même parfois un peu stressé par l’instant. Ce qui était le cas en ce moment même, tu le connaissais par coeur et son rire en disait beaucoup. «J’adore quand tu me prépares des surprises, mais je ne comprends pas pourquoi on ce retrouve devant une librairie alors qu’on devait aller manger. Mais je te fais confiance et si tu m’as demandé de venir ici c’est qu’il y a une bonne raison.» Tu le suivis sans te poser la moindre question quand il te prit la main et commença à marcher sans trop savoir où vous alliez. Quand il te montra l’étagère des livres, tu l’écoutas sans prononcer le moindre mot. Tu voyais dans son regard l’envie de voyager et à ce moment-là tu compris que par ta faute il ne pourrait pas vivre ses rêves. Mais tu ne voulais pas lui montrer ton inquiétude et ta peur de le perdre un jour pour ses rêves. Au contraire tu le regardas droit dans les yeux afin de lui faire passer tout l’amour que tu ressentais pour lui en cet instant précis. «Et c’est grâce à elle que j’ai rencontrée l’homme le plus merveilleux de la terre.»
Sur les marches de Paris, tu as fait la connaissance d'une jolie femme brune sans savoir que ce magnifique visage allait embellir ta vie peut-être à jamais. Elle a véritablement changé ta vie, elle a rendus ta vie bien meilleure. La ponctualité c'est quelques de choses de très important et c'est vrai que tes collègues ont besoin de toi. Mais tu as tout de même de la chance d'avoir une femme qui peut comprendre ça. Tu n'es pas le genre de mec à passer tout son temps une console ou devant du foot à la tv. Mais tu aimes bien faire des recherches, tu aimes voyager et voir le monde. Tu imagines souvent les voyages que tu pourrais faire. "On est une équipe, tu sais, il ne compte pas vraiment sur moi. Quand on doit être cinq et qu'au final un est absent c'est toujours un peu compliqué. Mais comme stars de ta pièce, tu sais exactement ce que c'est." Cela te fait tellement plaisir de pouvoir passer du temps avec ta petite amie. Elle avait réussi à avoir sa soirée et c'est vrai que depuis votre arrivée à Melbourne, elle avait été bien trop occupée. "On va bientôt aller manger je te le promets. C'est le bébé ou simplement ta gourmandise qu'il parle." Tu lui souris, vous êtes maintenant devant la librairie et tu lui expliques pourquoi tu l'as emmener ici. Comme à son habitude, elle te fait de doux compliments, tu n'en mérite pas autant, mais tu les apprécies tout de même. "C'est grâce à elle si ma vie à littéralement changer et en mieux." Tu regardes votre refflet dans la vitre et tu n'arrives pas à réaliser la chance que tu as de vivre une si belle histoire. Elle est l'amour de ta vie, tu n'aurais pas pu imaginer vivre une histoire aussi merveilleuse une jour. "Allez je dois te montrer une autre chose." Tu lui tiens toujours la main, vous marcher pendant quelques mettre et quand vous arrivez dans la rue d'à côté, il y a une calèche. Tu regardes les yeux pleins d'étoiles de la femme de ta vie et tu dis. "Pour ma princesse."
Quand tu as fait sa rencontre a Paris tu n’aurais jamais pensée que cet homme allait faire de toi la plus heureuse des femmes. Surtout qu’à cette époque là il était en couple avec ta meilleure amie et que tu étais déjà fiancée à un autre. Mais le coup de foudre ne peut ce contrôler! Tu comprend qu’ils ont besoin de lui au travail et tu ne lui en tiendras jamais rigueur. Tu savais qu’il faisait tout cela pour vous deux, enfin bientôt vous trois. Puis tu préférais le savoir au travail que devant la télévision en train de jouer ou regarder du sport. «Il ne faut pas dire ça, tout le monde compte, peut-être à des niveaux différents, mais ça peut faire une différence. Tu sais que je n’aime pas quand tu dis que je suis la star de la pièce, car c’est faux. Je ne suis pas une star, seulement une simple actrice qui débute.» Maintenant que tu jouais dans cette pièce, tu n’avais pratiquement plus aucune soirée de libre. Alors, dès que tu pouvais en avoir une, tu passais la soirée avec ton petit-ami. Il te connaissait que trop bien, mais depuis que tu étais enceinte, tu ne pensais plus qu’à toi, mais aussi au petit qui grandissait en toi. Tu avais toujours été gourmande et avec ta grossesse cela ne faisait qu’augmenter ce plaisir. «Si je te dis que c’est pour le bébé et aussi parce-que je suis gourmande que je te demande quand on va aller manger, tu me crois?» Tu dévorais chacune de ses paroles, surtout quand il te dévoile un peu plus de sa vie passer. Il se confie à toi sans aucun souci, mais très rarement sur sa vie à Melbourne. Alors, dès qu’il le faisait tu l’écoutais et l’encourager à se dévoiler un peu plus. «Alors, je remercie cette librairie d’avoir mis sur mon chemin mon destin.» Tu déposais un rapide baiser sur la joue de Dario avant de regarder à nouveau la vitrine. Ce que tu y voyais jamais tu n’aurais pas pu l’imaginer. Une famille, le bonheur et l’amour, voilà ce que tu voyais en cet instant précis. «Je te suivrais n’importe où.» Tu le suivis sans lui lâcher la main jusqu’au bout de la rue. Quand tu vis la calèche, tu n’en croyais pas tes yeux. À cet instant tu vivais dans un conte de fées et peu importe que tous les regards étaient tournés vers vous. Le seul regard qui t’importe était celui de l’homme qui ce trouvait à tes côtés. Ton coeur ne fit qu’un bond quand il t’appelait sa princesse. «Merci mon prince, tu me réserves encore beaucoup de surprise?» Tu affichais un large sourire sur le visage, à ce moment-là tu es la plus heureuse des femmes. Ensuite, tu te tournas vers lui et l’embrassa amoureusement. C’était sûrement l’une des plus belles surprises qui lui avait fait.[/i][/b]
Tu n'éprouves aucune fierté à exercer le travail que tu fais. Tu aurais tellement voulu réussir ce concours d'infirmier, malheureusement ce n'était pas le cas. Bien au contraire, cela a été un grand échec. Peut-être celui qui t'a fait le plus de peine dans ta vie. Les connaissances sont là, mais tu avais échoué, car tu es moins doué que les autres. Cette chute t'avait fait mal à l'âme que tu n'avais pas osé ré-essayer et tu étais donc devenu brancardier. Un métier qui paie les factures, un métier qui te permet de faire des rencontres, mais pas le métier de tes rêves. Heureusement pour toi, tu allais pouvoir changer de métier et quitter une fois pour toute l'hôpital. Mais il fallait encore que tu en parles avec ta femme. "Mais tu as tellement de talent et puis tu as tout même décroché le premier rôle, ce n'est pas rien. C'est ton visage qu'on verra en premier sur l'affiche." Tu es fier, heureux pour la femme que tu aimes. Elle va enfin pouvoir réaliser ses rêves, elle qui s'est tans privé toutes ses années. Comédienne, un métier pas assez convenable pour ces snobent de parents. Tu ne veux pas dénigré ses parents, tu ne les connais pas, tu n'as jamais été assez bien pour cela, tu sais qu'il n'aurait pas approuvé votre histoire et encore moins cette enfant à naître. "Je trouve ça très honnête de ta part." Tu rigoles, elle pouvait mentir et dire que ce n'était que pour le bébé comme certaine femme peuvent faire, mais non. Ta femme n'est pas comme ça. "Nous allons bientôt manger, je pensais qu'on pouvait se payer un petit italien." Pour se rappeler notre premier véritable dîner au restaurant. Ce soir là, cela avait été un désastre, mais nous avions passé une excellente soirée tout de même. Quand ta douce pose ses lèvres sur ta joues, la chaleur de son baiser, te sourire, tu es tellement heureux à ses côtés. Tu veux lui faire passer une soirée de rêve c'est pour cela que tu l'emmènes faire un tour en calèche. Tu sais comme ta chérie adore ce qui est romantique et avec l'aide de Dana, tu as eu quelques idées. "Pour l'instant suit moi simplement dans cette calèche." Dis-tu un peu amusé par la situation. Tu n'es pas très à l'aise avec les chevaux, mais pour Charly tu fais un effort. C'est à ce moment que la jeune femme t'embrasse avec amour et évidemment tu réponds tendrement à ce baiser. Vous êtes si amoureux que vous ne remarquiez pas les regards posé sur vous. "Je t'aide à monter ?" Demandes-tu en lui tendant à la main. Quand elle arrive sur les sièges, tu te joins à elle pour déposer une petite laine sur ses genou. Nous sommes en pleine été, mais les nuits sont tout de même assez fraîches en ce moment. "Mais ma chérie, si je te le dis, il n'y aurait plus de surprise, ravale donc cette curiosité." Avant de lui voler un autre baiser. Tu as tellement de chance.
Même si Dario n’avait pas réussi son concours pour devenir infirmier, tu étais fier de lui tout simplement car, il avait essayé et n’avait pas renoncé de travailler dans le domaine médical. Qui sait il pourrait peut-être retenter sa chance quand il le voudra afin de devenir infirmier. Mais pour le moment ce n’était pas d’actualité. En ce qui te concerne tu travailles dans le domaine que tu souhaitais et non dans celui que tes parents avaient toujours voulu pour toi. Cela n’avait pas été simple de faire ce que tu voulais. Quand tu vivais encore en France tu avais suivi le chemin qui avait été tracé pour toi, les études dans le commerce afin de reprendre l’affaire familiale. Mais maintenant plus libre que jamais, tu avais enfin franchi le pas et auditionner pour le premier rôle d’une pièce. Jamais tu n’aurais pas pensé avoir ce rôle et pourtant te voilà deux mois plus tard la tête d’affiche d’un spectacle. «Je sais, mais je ne me sens pas comme une star. J’essaye de ne pas y penser cela me stresse encore plus de m’imaginer sur les affiches.» C’est vrai tu stresses quand tu penses à l’affichage qu’il y aura dans toute la ville pour la première de la pièce. Cependant, tu ne renonceras jamais à ton rêve, cela avait trop difficile de mettre de côté ce rêve. Tes parents n’ont jamais compris ce que tu voulais vraiment, car pour eux le métier de comédienne n’est pas au niveau de leur fille. Si maintenant ils apprenaient que tu étais comédienne et enceinte d’un homme qui n’aurait jamais approuvé, tu ne veux même pas imaginer leurs réactions. «Tu sais que je n’aime pas mentir, puis-je ne peux pas tout mettre sur le dos de notre bébé… Comme pour notre premier dîner? Tu t’en es souvenu» Lors de ce dîner tout ne c’était pas super bien passé, cependant vous aviez passer une excellente soirée, car vous étiez ensemble. «D’accord Monsieur Walker, je te suis» Tu savais qu’il n’était pas très à l’aise avec les chevaux et le voir faire un tel effort pour toi, te prouver tout l’amour qu’il avait envers toi. Puis quand il répondit à ton baiser tu pouvais lui faire passer tout l’amour que tu ressentais pour lui également. Peu importe le monde qu’il pouvait y avoir autour de vous, vous étiez amoureux tout simplement. «Je veux bien merci. Tu es un vrai gentleman.» Posant ta main sur celle de ton petit-ami tu montes dans la calèche puis tu t’assois sur les sièges. Il avait même pensé à la petite laine à poser sur tes genoux pour éviter d’avoir froid durant la promenade. L’été était bien là, mais les soirées étaient plus fraîches que les journées. «Je sais qu’il n’y aura plus de surprise si tu me dis tout, mais je n’y peux rien. Je suis de nature curieuse je te rappelle mon amour» Tu savais la chance de l’avoir dans ta vie, il te rendait vraiment heureuse, avec les petites intentions qu’il avait envers toi. Volant encore un baiser à ton partenaire, tu posas ensuite ta tête sur son épaule et pris une de ses mains dans les tiennes. «J’ai vraiment de la chance de t’avoir à mes côtés. Je ne sais pas comment j’ai fait pour vivre sans toi avant.»Tu fermas les yeux pour profiter de l'instant présent.
Aujourd'hui, tu peux aisément dire que tu es heureux. Tu as peur, mais tu es heureux. Effrayé à l'idée de devenir père, mais heureux de pouvoir partager cette relation avec Charlotte. Tu n'aurais pas pu demander mieux à la vie. Tu es également très fier de savoir qu'elle va enfin pouvoir exercer un métier qui l'a passionne. Tu sais à quel point elle a donné pour ses parents. Combien elle s'est privée pour leurs donner satisfaction, c'est pour cela qu'aujourd'hui tu refuses qu'elle vive la moindre frustration. Tu veux qu'elle puisse vivre la vie qu'elle a toujours voulu et qu'elle mérite. "Tu n'as aucune inquiétude à avoir, je t'ai déjà vu plusieurs fois à l'oeuvre et tu es faites pour vivre sur les planches. Tu es douée, tu es charismatique, tu es merveilleuse." Évidemment, tu n'es pas l'homme le plus objectif de la ville, tu es amoureux de l'actrice, mais peu importe. À tes yeux, il n'a personne de plus doué qu'elle. Il n'y aucune femme avec le plus de talent au monde. Tu l'écoutes t'expliquer qu'elle ne peut pas tout mettre sur le dos du bébé et sans le vouloir tu poses tes mains sur son ventre. Donner la vie, est-ce la consécration que l'amour peut t'offrir. "Évidemment que je me souviens. On a mangé presque froid, le serveur a renversé le vin sur ma chemise neuve, une catastrophe." Dis-tu avant d'exploser de rire, mais c'est certainement aussi le plus jour de ta vie. Le temps que tu as passé avec ta chère et tendre. Ce sont des moments que tu n'oublieras jamais. Tu aides ta douce à monter à la calèche et elle te qualifie de gentleman. Tu lui souris avec tendresse, que serais-tu faire pour ses beaux yeux. Juste pour un sourire tu serais prêt à tout, tu es tellement amoureux d'elle. "Pour toi, je peux porter toutes les casquette de monde. Tu mérites au moins que je fasse le gentleman pour notre soirée en amoureux." Cela faisait un moment que vous n'aviez pas posé de soirée tous les deux, tu voulais vraiment marquer le coup. Tu voulais vraiment lui faire passer une soirée de rêve. Tu veux qu'elle se souvienne de cette soirée pour le reste de ta vie. "Il va bien falloir un peu patienté et éteindre cette petite curiosité, si tu veux avoir quelques surprises." Les meilleurs surprises sont celle dont on a aucune idée. Tu es heureux de pouvoir te tenir ta langue, mais c'est aussi pour cela que tu vas faire ta demande le plus vite possible. Tu n'es pas tellement doué pour tenir ta langue. Tu te souviens avoir vendus Lewis un jour contre un bonbon, il t'en a tenu rigueur pendant un petit moment. "C'est ce que je me dis chaque matin quand je me réveille à tes côtés." Dis-tu avant de l'embrasser à nouveau avec amour.
Devenir mère était un rêve et une envie. Cependant, tu n’avais pas imaginé que cela arriverait aussi rapidement dans la relation que tu avais avec Dario. Certes tu étais heureuse avec lui et lui avec toi, mais tu avais peur de ne pas réussir dans ton rôle de mère. Tu n’avais pas eu le bon modèle plus jeune et ça te faisait peur de reproduire ce que tu avais vécue. Heureusement que tu n’étais pas seule, tu pouvais compter sur la personne qui comptait le plus pour toi. Tu t’imaginais le bébé dans les bras de Dario, cette simple imagine te faisait sourire dans n’importe quelle circonstance. «Tu sais que tu n’es pas objectif? Simplement, car tu sors avec la tête d’affiche qui est aussi la mère de ton futur enfant. Mais je prends les compliments même si je suis gênée» Tu savais qu’ils te disaient la simple vérité, mais tu étais toujours aussi gênée des compliments qu’il pouvait te faire. Gêner, c’était le mot tu n’avais pas l’habitude d’en recevoir c’était plutôt l’inverse qui ce passer. Sauf peut-être avec ton père, lui seul avait le mot pour te faire sourire. C’était ton seul regret après votre départ pour Melbourne, mais tu devais partir… Quand il posa ses mains sur ton ventre, tu baissas les yeux vers ce même endroit et posa également tes mains sur celle de l’homme qui était en face de toi. «J’en rigole encore, mais j’ai adorée cette première soirée, car j’étais avec toi. Cependant, je me demande encore qui de vous deux étaient le plus stresser ce soir-là» Même si cette soirée avait été catastrophique, tu t’en fichais, car tu l’avais passée avec lui et rien que lui, jamais tu ne pourrais oublier. Tu adores son sourire et ferais tout pour le voir sur son visage dans n’importe quelles circonstances. «Je ne te demande pas de porter toutes les casquettes qui existent dans le monde, j’en veux seulement que deux. Celle de l’amour de ma vie et celle du futur père. Crois moi tu n’es pas seulement gentleman ce soir, tu l’es tous les autres jours.» Il avait vraiment sortit le grand jeu pour cette soirée. Cela faisait longtemps que vous n’aviez pas passer du temps ensemble et ça te manquait énormément. Tu ne pouvais quitter son regard remplit de tendresse et d’amour pour toi. «Tu m’en demande beaucoup, mais pour toi je vais essayer de garder toutes mes questions sur cette soirée pour moi.» Ta nature curieuse reprenait le dessus rapidement, mais tu voulais lui faire plaisir et tu savais qu’il ne te dirait rien de plus afin de te laisser la surprise. Pourtant, tu avais tant de questions sur cette soirée, tant de curiosité, mais pour lui t’étais prête à tout même à te taire et profiter de cette soirée magique qu’il t’avait préparer. «Mon coeur s’arrête quand tu es loin de moi. Je ne savais pas avant notre rencontre qu’on pouvait ressentir de tels sentiments. Mais maintenant que j’ai ressentis de tels sentiments je ne pourrais plus jamais m’en passer.» Répondant à son baiser, tu passas tes bras autour de sa nuque, approfondissant encore plus le baiser.
Cela était tellement fou, tu allais devenir père. Toi qui ne savait même pas en quoi cela pouvait bien consister. Le tien de père n'a jamais été réellement là. Il n'était pas absent, mais vous n'avez pas eu l'éducation de type normal. Bien au contraire, vous étiez bien souvent livré à vous-même. Par chance, tu pouvais compter sur Dana, mais il t'arrive aussi d'avoir affreusement peur d'imaginer que tu pourrait donner la même éducation à cet enfant. Ce genre de choses que tu n'as jamais apprécié. "Objectif ou pas, j'ai des yeux! Tu brûles les planches! Tu es magnifique et tu travailles si dur." Tu sais que tu n'es pas objectif, elle brûle autant les planches que ton coeur. Mais en tu remarques bien que tu n'es pas le seul à la trouver talentueuse et d'ailleurs elle n'aurait jamais eu le premier rôle si elle ne l'était pas. Tu rigoles, il était évidemment que tu étais le plus stressé. Voulant bien faire! Voulant être à sa hauteur. "Quelle question! J'étais le plus stressé, devoir se mettre presque torse nue durant un premier rencard, ce n'est jamais bon signe." Tu remarques que même le coché ce met à sourire de toi. Tu n'as jamais été embêté à l'idée d'être l'enfant qui fait tout capoter. Tu serais prêt à tout pour rendre heureux ta douce. Quand elle te dit que les deux seuls casquettes qu'elle souhaite te voir porter c'est celui de petit ami et celui te père de famille. Tu te dis que c'est le bon moment. Tu commences à vouloir poser un genou à terre et tu finis par tombé sur ta douce, alors que le cheval arrive devant le restaurant. "Oups .. Je ne t'ai pas fait mal j'espère." Tu l'aides à descendre et elle te dis ses mots qui te font battre ton coeur. Elle t'attrape autour de ton cou et tu es heureux. C'est comme ça que tu avais imaginé votre relation. Tu l'as toujours rêvé ainsi. Vous étiez enfin heureux, amoureux et libre de vous aimer au grand air. "Tu n'images pas à quel point tu comptes pour moi, tu es la prunelle de mes yeux, mon souffle, ma vie." Tu recommences à vouloir remettre un genou à terre quand soudain le chauffeur de la calèche ce met à tousser. Tu comprends et tu vas lui donner son due. "Merci pour la balade." Dis-tu avant de retourner au bras de ta femme. "Prête pour un repas ou j'espère garder ma chemise jusqu'au bout du dîner."
Tu allais devenir mère dans quelques mois. Tu ne savais pas en quoi consister réellement d’être mère, la tienne n’avait jamais été un modèle. Elle te voyait simplement comme un contrat de travail, tu pouvais lui amener plus de pouvoir au sein de l’entreprise de ton père. Le seul exemple que tu avais été celui de ta femme de chambre, elle avait été comme une mère pour toi. Tu lui confiais le moindre de tes soucis ainsi que ton bonheur, malheureusement elle avait démissionné avant ton adolescence. Après cela tu avais grandi rapidement, tu n’avais pas eu vraiment le choix avec les fiançailles arrangés. Mais maintenant que tu avais enfin trouvée le bonheur auprès de Dario, tu avais peur de l’avenir. Peur de ne pas réussir à élever cette enfant comme tu le souhaitais, peur de reproduire les erreurs que tes propres parents avaient fait sur toi. Cependant, tu pouvais compter sur Dario, tu lui faisais confiance pour t’aider à chaque instant. Tu connaissais son passé et malgré cela tu avais une confiance aveugle en lui. «J’adore ses yeux au passage. Je travaille un peu trop de temps en temps a tel point que je ne te vois pratiquement plus.»Tu savais que tu travaillais beaucoup trop, mais ton metteur en scène était très exigeant, tu ne voulais pas le décevoir et encore moins décevoir le public qui viendrait te voir sur scène. Cela empiète sur ta vie privée surtout sur ta vie de couple avec Dario. Cette soirée était la bienvenue pour toi, tu avais besoin de repos et de te retrouver avec l’homme que tu aimais. «Tu es sûr que tu étais le plus stresser? J’ai essayée je ne sais plus combien de robe avant de trouver la bonne, je voulais être parfaite pour notre premier rendez-vous. Ça dépend pour qui, j’ai apprécié te voir torse nu puis ce n’est pas comme si je ne t’avais jamais vue auparavant. Le nombre de fois ou je t’ai admirer sortant de la piscine de Emma.» Tu te mordis la lèvre inférieure en te rappelant ces souvenirs. A ce moment-là tu savais que ce que tu faisais en l’observant n’était pas bien, il était en couple avec ta meilleure amie et tu étais fiancée à un autre. Mais tu ne pouvais pas faire autrement, tu étais attirée vers lui. Quand il te tomba dessus tu rigolas légèrement, il était sur craquant en s’excusant. «Non ça va je n’ai rien, t’inquiète pas» Tu descendis de la calèche avec l’aide de ta moitié et tu le remerciais de la meilleure façon que tu connaissais en l’embrassant pour faire passer tout l’amour que tu ressentais pour lui. Les mots qu’il te dit te touche au plus profond de toi. Jusqu’à lui tu ne savais pas ce que c’était l’amour et encore moins ce que signifiait les mots qu’il te disait. Quand tu le vois se baisser légèrement tu ne comprends pas ce qu’il fait, mais tu ne cherches pas plus loin. Tu remerciais le chauffeur d’un signe de la tête pour cette balade avant de te tourner vers le restaurant dans lequel vous allez manger après. «Je suis toujours prête du moment où je suis avec toi. J’avoue que si tu pouvais garder ta chemise pendant le repas, cela me rendrais service car je n’ai pas envie que d’autres personnes ne voient ton corps. Tu es à moi et je ne te partagerais avec personne c’est bien clair? Par contre, une fois rentrer à la maison tu veux enlever cette chemise je ne dirais pas non bien au contraire.» Tu lui fis un clin d’oeil et commença à avancer vers l’entrée du restaurant.
L'amour peut vous pousser à faire des choses étranges. Comment des simples yeux peuvent vous manquer et pourtant c'est bien ce que tu ressentais. Charlotte avait été bien occupée depuis votre arrivés à Melbourne. Tu avais eu peur, peur qu'elle ne désire plus de toi, amis c'était tout autre. Elle portait la vie et elle t'apportait tans de bonheur. La nouvelle avait fait un grand boum dans ton coeur. Mais elle travaillait encore trop pour toi, tu sais que cela est pour la bonne cause. Elle te manque, tu es égoïste, mais c'est le cas. Tu aimerais tellement l'avoir que pour toi, tu aimerais tellement pouvoir profiter d'elle un peu plus longtemps. Tu souris quand elle te dit que tes yeux lui manquent. Elle saurait ce que tu penses des siens. Ces magnifiques yeux marrons qui te font tans rêver, ses yeux marrons qui sont dans tes pensées en permanance. "Ses yeux ne voient que toi. Quand tu n'es pas dans la pièce, il me suffit de fermer les yeux pour t'avoir à mes côtés. C'est seulement une mauvaise passe, bientôt on pourra un peu plus profiter de nous deux." L'argent ne fait pas le bonheur. Mais il aide à être heureux. Tu souris en imaginant ta petite amie essayer d'innombrable tenu afin de te plaire. C'est tellement idiot puisque même habillé normalement, elle aurait été la plus belle de la pièce. "C'était réussi, tu étais magnifique. Mais à ce moment là je ne voulais pas t'impressionner. Bien au contraire, je ne voulais pas me faire remarquer. Je ne voulais pas qu'Emma sache que j'étais déjà fou de toi." Tu te sentais bête, tombant sur elle, alors que tu voulais lui demander sa main. Elle te dit que c'e n'est rien, mais tu sais que c'est faux, tu te sens tellement idiot. Pourquoi n'arrives-tu pas à faire simplement cette demande. Tu as peur qu'elle te dise non. Peur qu'elle ne désire pas partager sa vie avec la tienne. Tu souris c'est aussi pour cela que tu es fou de Charlotte pour cette façon qu'elle a de rendre tout plus amusant. C'est en ce moquant gentiment de toi qu'elle te répond et puis elle finit par te faire des sous entendu que ton oreille aime entendre. "Tu ne veux pas faire profiter à d'autre mon corps de rêve?" Demandes-tu en faisant de l'humour. Tu n'es pas le genre de type à se prendre au sérieux bien au contraire. Tu serais du genre à te sous estimer. Puis en répondant à son clin d'oeil. "J'en en enlèverais bien plus à notre retour chez nous, si cela te dit."
Depuis votre arrivée à Melbourne tu passais la plupart du temps au théâtre et tu détestais cela. Certes la comédie est ta vie, mais ton metteur en scène en demandait trop et tu rentrais tous les soirs tard et épuiser. Cependant, tu trouvais toujours la force dans le regard de Dario ou tout simplement son visage endormis quand tu rentrais le soir et qu’il dormait déjà. Tu pouvais l’observer pendant des heures, caressant du bout de tes doigts le moindre recoin de son visage afin de sentir son visage sur tes mains à n’importe quel moment. Tu finissais toujours par t’endormir quand tu arrivais à sa mâchoire, heureuse et apaisée. Tu aimerais passer plus de temps avec lui et tu sais que tu lui manques, mais malheureusement ta carrière te demandait encore beaucoup trop de temps. Peut-être qu’avec le temps tu pourras être plus disponible pour lui, c’était tout ce que tu voulais. En y réfléchissant dans quelques mois tu ne pourras plus monter sur scène aussi longtemps et que tu le voudrais. Donc tu passeras plus de temps avec ton homme et le futur bébé à naître. «Tu sais que tu es un grand romantique? Toujours le petit mot ou geste pour me faire sentir aimer. On dirait que je fais partie des sept merveilles du monde à tes yeux… Dès que bébé prendra plus de place, je pourrais enfin profiter de toi.» Tu avais rougi quand il parlait de tes yeux et de la façon dont il pouvait te voir à chaque instant. Tu adores ce côté romantique qu’il a. Il ne s’en rend pas toujours compte et c’est ce qui te fais tomber amoureuse de lui encore plus qu’avant… A ce moment-là tu ne voulais pas qu’il ait des soucis avec ta famille ou te mette à dos ta meilleure amie, mais tu ne pouvais pas être loin de lui trop longtemps et cela se voyait sur ton visage. Tu étais prête à essayer toutes les tenues de ton armoire afin de le voir sourire quand il te voyait. «Tu n’étais pas mal toi non plus. Moi tout ce que je voulais c’était de voir ton sourire quand tu me voyais. Et surtout je ne voulais pas que tu puisse avoir des ennuis avec ma famille ou avec Emma, jamais je me serais pardonnée quoique ce soit s’il t’arrivait quelque chose… C’est vrai tu étais déjà fou de moi à cette époque? En tout cas j’étais déjà sous ton charme et je ne pouvais pas m’imaginer un seul instant qu’on serait un jour ensemble.» Tu te mordis la lèvre en faisant cet aveu. Tu avais pu voir dans ses yeux qu’il ne te croyait pas quand tu lui assuras que tout aller bien. Le connaissant par coeur tu arrivais à déchiffrer le moindre de ses regards, afin de le rassurer sur le fait que tout aller bien tu lui caressas la main qui tient la tienne. Pendant cette caresse tu pouvais sentir les pulsations de son coeur au creux de la main, tu le regardas droit dans les yeux et tu pouvais voir qu’il était stressé. Mais voyant que tu arrivais à déchiffrer son regard il afficha un sourire et son expression changea aussitôt. Tu savais qu’il adorait te taquiner et cela t’amuse de le voir agir ainsi avec toi. Cependant, tu voulais vraiment que personne d’autre puisse profiter du corps de Dario. La jalousie? Sûrement. «Non, personne à part moi n’a le droit de voir le corps de rêve de l’homme que j’aime. C’est bien clair?» Tu le défias du regard afin de lui faire comprendre qu’il t’appartenait. «J’aimerais bien être déjà chez nous. Mais on dirait que mon estomac et le bébé veulent autre chose» Tu rigolas tout en rougissant.
Étrangement Charlotte était encore loin du compte. Tu voues une telle passion pour ta femme, tu ne pensais pas qu'on peut aimer autant et pourtant c'est bien le cas. Évidemment, tu aimerais passer le plus de temps possible avec elle. Évidemment, qu'il t'arrive de te demander si elle préfère son job à toi. Tu reviens vite à la réalité, mais il serait mentir de dire que tu n'y as jamais songé. Comme ce jour où elle a oublié la saint valentin, car elle était trop occupée à travailler. Tu sais, à présent, que le bébé n'était pas pour rien dans cette histoire. Tu sais comme elle a eu peur de te décevoir en t'annonçant cette merveilleuse nouvelle. Mais tu t'es posé de nombreuses questions? Et tu as encore un encore en tête. Mais surtout une en priorité. "Tu pourras enfin profiter de toi et te regarder dans un miroir ma chérie. Tu es une des merveille du monde. Tu es douce, aimante, souriante, belle, intelligente, charismatique, tu es la plus belle personne qui me soit donné de voir au monde." Et tu avais vu du monde. Tu en avais rencontré des femmes, mais aucune n'avait ce petit truc que Carly peut avoir. Une histoire digne de roméo et juliette, digne des plus grandes tragédies. Que dirait ses parents? Que diraient-ils, s'il vous voyez prêt à avoir un enfant ? Ils ne seraient pas d'accord. Il ferait tout leurs possible pour te faire fuir la ville à toute vitesse et ne jamais revenir. "J'aurais donné tout ce que j'ai pour que tu puisses avoir ta famille prêt de toi. Emma a toujours su mon attirance à ton égard. Quand on a rompu, elle a tout de suite compris. Puis nous n'étions pas fais pour être ensemble." À la base, tu ne devais même pas resté étudié, tu t'es fait prendre dans les filets de l'amour. Quand elle se mordille la lèvre, tu aimerais l'embrasser fougueusement, mais vous êtes dans un lieu public. "Je l'ai toujours espéré." Dis-tu doucement et timidement. Évidemment, tu la taquiner, tu ne voulais toi-non plus qu'une autre personne te vois dans presque nu. Tu n'as jamais été de ce genre de mec à s'exhiber en public. Déjà tu en as jamais vu l'intérêt et en plus tu as toujours favorisé tes recherches biologiques qu'autre chose. "Je ne suis que pour toi, ma chérie." Tu souris quand elle t'avoue qu'elle voudrait déjà être à la maison, mais que son estomac cris trop famine. "Ne me dit pas ce genre de choses, alors je vais finir par vouloir passer commande et passez directement à la maison." À ce moment précis vous entrez dans le restaurant, tu as commandé une petite dans un coin, pour être à l'aise avec ta demande en mariage. Tu tiens sa chaise avant de t'asseoir en face d'elle. "Je veux partager toute ma vie avec toi." Redis-tu encore le regard pleins d'amour. Alors que les serveurs vont ramène du champomy et des apértifs que tu as commandés à l'avance. Tu pauses un genou à terre, c'est le moment ou jamais. "Charlotte Lefort, je t'ai aimé dès le premier regard. J'ai t'ai voulus au premier baiser. Jour après jour, je vis un rêve de m'endormir et me réveiller à tes côtés. Me donnerais-tu l'honneur de poursuivre ce rêve tout au long de notre vie?" Tous les regards sont sur toi, tu es mal à l'aise, mais tu as enfin posé la dite question.
Tu n’aurais jamais pu penser qu’une personne puisse t’aimer comme cet homme t’aimer. Il y avait des moments ou tu avais fait passer ton travail avant tout le reste jusqu’à oublier la saint-valentin. Et pourtant il ne t’en tenait jamais rigueur, puis tu avais appris pour la grossesse et tu t’étais encore plus enfermer dans ton travail. Par peur de lui annoncer cet évènement et malgré cela il avait encore une fois compris pourquoi tu avais agi comme ça. Pour toi tu ne le méritais pas, pourtant vous ne formiez qu’une seule et même personne quand vous êtes ensemble. Après l’annonce tu lui avais promis que tu ferais plus attention à toi et prendrais plus de temps pour te reposer. Malheureusement les répétitions s’enchaînaient et ce terminer toujours plus tard que la veille. Ton producteur n’était toujours pas au courant de ton état et tu ne te sentais pas prête à lui et pourtant cela commence à ce voir de plus en plus. «J’aimerais surtout profiter de toi, j’aurais tout le temps de me retrouver après l’accouchement même si je pense que ce petit ne me laissera pas beaucoup de répit. Tu es vraiment un amour de me dire tout cela, malgré ce que j’ai pu te faire subir ces derniers mois. Et j’en suis vraiment désolée mon amour.»Tu rougissais à vue d’œil quand il parla, tu avais l’habitude des compliments qu’il pouvait te faire, mais malgré cela tu réagissais toujours de la même manière. Tu savais qu’il avait connu de nombreuses femmes avant toi, pourtant tu avais une totale confiance en lui et à l’avenir qui vous attendait. Tout simplement, car tu l’avais vue changer depuis que vous êtes ensemble. Emma t’avait déjà racontée qu’il draguer tout ce qu’il passait devant lui malgré le fait qu’il était déjà en couple. Elle le connaissait d’avant leur relation et pourtant cela ne les avait pas empêchés de ce mettre ensemble.. Enfin depuis qu’il était avec toi, tu n’avais jamais vue un regard de désir vers une femme autre que toi. Beaucoup de personnes ne voyait un avenir pour vous deux et encore moins tes parents. Pourtant, tu étais avec lui envers et contre tous, prêt à devenir la mère de son enfant et la femme la plus heureuse du monde. S’ils étaient au courants de ta grossesse, ils t’auraient fait quitter le pays, le quittait lui. Tu ne voulais pas y penser, ils étaient loin et encore mieux ils ne savaient pas où tu te trouver en ce moment.«J’aimerais seulement qu’ils soient heureux de mon bonheur, pour nous, mais je sais que c’est impossible. Il te déteste et ne t’ont jamais apprécié sauf peut-être mon père. Sauf que ma mère le tient et il fait tout ce qu’elle lui dit. Mais ce n’est pas grave, car maintenant tu es ma famille et elle va bientôt s’agrandir et c’est tout ce qui compte pour moi maintenant. Nous trois rien de plus, d’accord? Comment j’ai fais pour ne pas me rendre compte qu’il y avait une attirance entre nous depuis le début?!»Tu savais qu’en te mordillant la lèvre il voudrait t’embrasser et pas de la manière la moins désirable. Mais cela était impossible dans un endroit public. «Et je ne suis qu’à toi mon amour, rien qu’à toi ne l’oublie jamais… J’aimerais tellement le faire aussi, mais cela serait dommage de perdre une réservation dans un si bel établissement. Puis, ça fait un moment qu’on ne c’est pas retrouvé en tête-à-tête dans un restaurant. Mais promis une fois à la maison, tu enlèveras le plus rapidement tous les vêtements que nous portons» Une fois installer à la table que Dario avait réservé, tu regardes autour de toi pour graver chaque instant dans ta mémoire. Quand il te regarde avec tant d’amour dans les yeux et qu’il te dit des choses comme il était en train de le faire, tu ne pouvais que l’aimer encore plus. Au moment où le serveur apporta les apéritifs et le champomy tu tournas la tête vers lui et le remercia d’un sourire de gratitude. Puis tu regardas de nouveau vers Dario et afficha ton plus beau sourire, il avait pensé à la boisson sans alcool, mais qui faisait un peu champagne. D’habitude vous auriez juste commandé de l’eau pour toi pour l’apéritif, mais là, il voulait sûrement fêter quelque chose pour en faire autant. Tu ne vis pas tout de suite qu’il s’était levé, trop absorber par les délicieux apéritifs sur la table. C’est seulement quand Dario prit la parole que tu le cherchas du regard et le vit à genoux. Tu poses une mains devant ta bouche tant tu fus surprise par ce qui était en train de ce passer.Des larmes de joies commencèrent à couler au fur et à mesure des mots qu’il prononçait. Tu n’en revenais pas de ce qu’il ce passait actuellement. Le voir en train de te faire une magnifique demande en mariage. Quand il finit, tu le regardas droit dans les yeux et afficha ton plus beaux sourire et s’en t’en rendre compte tu crias presque la réponse. «C’est oui oui oui. Bien sûr que je veux passer le reste de ma vie à rêver avec toi.» Tu te levas de ta chaise et passa tes bras autour de son cou pour l’embrasser amoureusement. Tu étais sûrement la femme la plus heureuse du monde actuellement. L’homme que tu aimais le plus au monde venait de te demander de passer le reste de ta vie à ses côtés.
La vie à Melbourne n'avait pas commencé comme tu l'avais tans rêvé. Tu as eu la chance de retrouver des liens avec ta grande soeur, mais Charly s'était étrangement éloigné. Maintenant, tu comprends le pourquoi du comment, mais pourtant, cela te laisse toujours un peu confus. Comment a t-elle pu croire que ce bébé apporterait quelques choses d'étrange dans votre vie. Tu ne le pensais pas en avoir maintenant, mais tu savais qu'elle serait la mère de vos enfants. Tu as eu tellement peur de la perdre, tellement peur quelle regrette sa vie a Paris. La vie presque parfaite qu'elle avait, un petit ami riche, une vie partiellement facile. La vie à tes côtés n'étaient pas comme ça, bien au contraire. Tu étais pauvre, tu n'as pas réellement de famille, mais tu l'aimais comme tu ne pensais pas pouvoir aimer un jour. "L'importance c'est qu'on a passé tout cela. Tu as eu peur, mais je t'en pris, la prochaine fois, explique-moi. J'ai cru que tu voulais me quitter." Tu en avais même parlé à Dana qui avait su trouvé les mots pour te consoler. Elle avait simplement soupçonné qu'il lui fallait du temps. Après tout, elle avait tout quitté pour un autre continent, cela n'a pas aidé. Tu n'es pas idiot, tu sais que son père lui manque, mais tu sais également qu'ils n'approuvent pas votre relation. Ce bébé en route serait soit une cause de problème pour eux, ou au contraire le moyen de faire retourner Charly auprès d'eux. Ce qui serait un euphémisme puisqu'ils étaient prês à faire mariés leurs filles chéris simplement pour l'argent. Mais pour Charly, pour celle qui fait battre ton coeur, tu serais prêt à mettre de l'eau dans ton vin. Tu sais qu'elle aimerait que son père soit là, un peu moins sa mère, mais son géniteur, si. Peut-être qu'un jour, il fera partie de votre vie et de celle de ce bébé qui granit. "Car, j'étais en couple avec ta meilleure amie et que tu es quelqu'un de bien. Ou simplement parce que tu me voyais comme le gars un peu gauche et étranger. Le genre de type qui rentrera au pays quelques années plus tard." Elle n'aurait pas eu tort. Tu as voyagé, vu le monde, mais tu es bien que chez toi. Ce sourire sur le visage de ta petite amie est la raison qui a fait que tu sois tombé en amour devant elle. Elle ne réalise pas l'effet qu'il peut avoir sur ton coeur et sur ton coeur. Elle te promet qu'en arrivant elle arrachera tes vêtements et ton esprit s'évadent là où il ne devrait pas. Vers des scènes interdit pour les moins de dix-huits ans, mais cela te fait sourire. "C'est une promesse?" Demandes-tu avec un sourires pleins de malices. Puis soudain, ta commande arrive, c'est le moment où jamais. Pendant un petit instant, elle avait retourné son regard et tu en avais profité pour mettre un genou à terre. Pour poser la question que tu avais tans redouté, posé la question qui te faisait peur, poser la question qui allait littéralement changer ta vie. Quand elle te répond oui avec les larmes aux yeux, tu te lèves et tu l'embrasses. Elle tient ton cou et tu en fais de même. Jouant avec ses cheveux, tu laisses ta langue entré entre ses deux lèvres. Tu souris, bêtement, tu gardes un sourire béat. Tu es heureux, les yeux brillants et le coeur pleins d'amour. "Je suis tellement heureux."
hors rp: désolé, je n'avais pas vu ta réponse avec la dernière maj :s
WELCOME TO BERKELEY ৩
Invité
Invité
Sujet: Re: "It's you. It's always been you"
posté Jeu 25 Juin - 17:01
Tout ce que j'ai à t'offrir, c'est moi.
Peu de temps après votre arrivée à Melbourne tu avais appris ta grossesse et par la même occasion tu t’éloignais de l’homme qui partage ta vie. Tu avais eu peur de lui annoncer ta grossesse, peur qu’il ne te voit plus comme la femme qu’il aimait, mais comme la mère de ses enfants. Peur que ça vous éloigne petit à petit, peur qu’il t’abandonne pour partir avec une autre. Alors, tu avais décidé de t’éloigner petit à petit, même si cela risquer de te faire souffrir. Mais cependant dès qu’il apprit la nouvelle, toutes tes peurs c’étaient envoler et l’amour que tu lui portais été encore plus fort. Dario avait réussi à te rassurer sur votre avenir ensemble. «J’avais peur de ta réaction et encore plus de te perdre. Je ne l’aurais pas supportée, alors j’avais décidée de m’éloigner de toi petit à petit pour éviter de trop souffrir quand tu m’aurais quitté. Mais maintenant je viendrais t’en parler. Comment as-tu pensé que je voudrais te quitter? Tu es l’homme que j’aime, l’homme qui partage ma vie, le père de notre futur enfant et surtout tu es l’homme de ma vie.» Tu avais essayée de te rendre dans tes endroits préféraient après l’annonce de ta grossesse, mais tu t’étais rendu compte que tu n’étais plus à Paris, mais bien à Melbourne cela t’avais un peu chambouler. Mais tu ne changerais rien, tu étais heureuse ici et surtout tu étais libre de faire ce que tu voulais. Malgré cela tu aurais quand même voulue partager la nouvelle de ta grossesse avec ton père. Tu savais qu’il aurait été heureux pour toi et de devenir grand-père était l’un de ses rêves. Mais voilà tu ne pouvais pas communiquer avec lui par peur qu’on vienne te chercher et qu’on t’éloigne de Dario. Alors, pour le moment tu ne voulais pas prendre le risque de perdre la personne qui comptait le plus pour toi quitte à ne plus voir ton père. «Jamais je n’aurais pu faire souffrir ma meilleure amie, que j’étais obligée de te voir comme un simple ami et que tu étais inaccessible pour moi. Je n’avais pas le droit de t’aimer pour de nombreuses raisons, mais c’était trop difficile pour moi te rester éloigner de toi trop longtemps même à cette époque et malgré nos situations amoureuses. Ne dis plus jamais ça, car je t’ai jamais vue comme le gars un peu gauche et encore moins que l’étranger qui pourrait repartir a tout moment. Je t’ai vue comme un homme peu sûr de lui, qui avait beaucoup voyager et qui avait beaucoup souffert dans sa vie. Comme un homme un peu fragile, mais qui ne le montre pas une seule seconde. Je crois que c’est ça qui m’a fais craquer chez toi.» Tu adorais le voir sourire dans n’importe quelle situation, surtout quand tu le taquinais un peu sur ce que tu pourrais lui faire après votre rendez-vous. Car tu savais exactement ce qu’il pouvait penser quand tu le séduisais. «C’est bien plus qu’une promesse c’est une certitude» Quand la commande arriva, tu avais détourner le regard aussitôt vers la table bien trop heureuse de manger quelque chose. Cependant, quand tu l’avais vue à genoux en train de faire sa demande en mariage, tu en avais eu le souffle couper. Tu allais devenir sa femme et lui ton mari pour toujours. Cela ne faisait pas longtemps que vous étiez ensemble, mais pourtant tu ne pouvais pas voir un avenir sans l’avoir à tes côtés. «Tu sais à quel point je t’aime… Et grâce à toi je viens de devenir la femme la plus heureuse du monde en cet instant. On va avoir un bébé, on va se marier et surtout on est ensemble et jamais rien ne nous séparera.»
Et si la peur de perdre l'homme aimé et la seule réaction logique à une véritable relation. Aimer a en perdre à l'haleine. Aimer a avoir l'impression de perdre un bout de soit quand la moitié s'éloigne. Tu n'étais qu'un point, que l'ombre de toi-même, voyant ta douce s'éloigner. Maintenant, tu sais, que s'était pour la bonne cause, que s'était pour se poser des questions, mais tu aurais tellement aimé pouvoir partager plus que tout cela. Le passé, ne peut être changé et maintenant que les choses sont faites, il va falloir passer à autre chose. Tu es heureux de l'entendre, tu es sur un nuage, elle a accepté ta grande demande. Tu as tans rêvé de cette situation, mais les choses sont tellement mieux qu'en rêve. "Je t'avoue que je n'étais pas rationnelle, je vivais simplement sur l'instant. Je ne suis pas comme ce type auquel tu aurais dû te marier. Tu as tellement abandonné pour moi, pour nous, que je me suis dis que peut-être... tu avais quelques regrets." Tu sais comme la vie avec des regrets peut être triste, c'est une chose que tu ne souhaites pas, même à ton pire ennemi. Mais elle te rassure, en te disant que tu es l'homme qu'elle aime. Tu rougis, mais tu souries également, tu es rempli de joie et d'amour. "Tu es la femme de ma vie." Tu n'as jamais eu de doute et encore moins maintenant que cela est réellement concrets. La bienveillance, peut-être l'une des qualités qui te plait le plus chez ta fiancée. Elle aime prendre soin des gens et c'est ainsi qu'elle avait réussi à mettre ses besoins de côté par respect pour sa meilleure amie. Mettant par pur hasard ses sentiments, mais aussi les tiens de côté. Heureusement, l'amour ne peut pas se cacher bien longtemps et vous avez réussi par vous retrouvez à un moment. Puisque maintenant, tu l'as demandé en mariage. "Comme quoi les choses sont bien faites puisque maintenant nous allons bientôt nous marier." Charly avait réussit à lire en toi comme dans un livre ouvert. Toi qui aime jouer les hommes timides, les hommes renfermés, les hommes que rien ne peut toucher. Ta fiancée sait que c'est bien différent, elle sait que tu as souffert, l'absence de tes parents, l'abandon de tes frères et soeurs. Que ce besoin de voyager n'était qu'une belle mascarade. "Tu me connais tellement bien, cela pourrait presque faire peur." Après ces belles paroles, tu ne peux t'empêcher de poser tes lèvres sur les siennes. Tu es tellement heureux a ce moment précis. "Rien et personne ne peu nous séparer, c'est la promesse que je te fais. Tu es mon trésor."
Accueil
